mercredi 28 mars 2012

La diminution de la couche d'ozone serait en voix de guérison mais la menace persiste


 Un nouveau rapport suggère que l'interdiction sur les hydrochlorofluorocarbones 1987 a réussi à inverser l'érosion de la couche d'ozone et que l'exposition aux rayons UV est en baisse.Une nouvelle étude scientifique a confirmé que la guérison de la couche d'ozone a permis la réduction d'exposition des personnes aux rayons UV nocifs du soleil. Il faudra encore prendre des années avant que la couche d'ozone se reconstituera entièrement, mais la chaîne de nouvelles positives se poursuit.
Pendant des décennies, la menace a continué de croître: La couche d'ozone protectrice de 20 kilomètres (12,4 miles) au-dessus de la planète a été éclaircie, l'ouverture d'un chemin d'accès pour l'exposition au rayonnement ultraviolet du soleil. Même si les experts ne sont pas en accord aujourd'hui sur la mesure du problème, il est certain que le rayonnement augmente le risque de cancer de la peau.
Les dommages subis à la couche d'ozone avait été causé par les aérosols et les réfrigérateurs chlorofluorocarbures (CFC électroluminescentes). En 1987, l'Organisation des Nations Unies a répondu, l'interdiction de la fabrication et l'utilisation des CFC et autres substances dans le cadre du Protocole de Montréal. Depuis lors, le trou dans la couche d'ozone a diminué.
En automne 2010, les scientifiques ont rapporté le premier succès, en disant la couche d'ozone avait commencé à cicatriser. Maintenant une nouvelle étude montre pour la première fois que la guérison de la couche d'ozone est également fait pour améliorer la situation de la santé pour les personnes. Cancérogènes rayons UV sur le terrain ont également été diminué ces dernières années, des chercheurs dirigés par Zerefos Christos dans les centres de recherche en physique atmosphérique et climatologie à l'Académie d'Athènes en Grèce concluent dans leur étude, publiée par la chimie atmosphérique publication scientifique et la physique.
"Les résultats sont encourageants», a déclaré Markus Rex, un expert à l'Institut d'ozone respecté allemand Alfred Wegener pour la recherche polaire et marine à Potsdam. Le fait que la couche d'ozone dans les régions étudiées est devenu plus épaisse est le résultat du succès du Protocole de Montréal, at-il ajouté.
Filtre à air entraîne une exposition plus grande aux UV
Les résultats de l'étude sont basés sur des données recueillies entre 1990 et 2011 à 12 stations de mesure situées en Europe, le Canada et le Japon. Les stations de mesure de l'intensité des rayons solaires dans des longueurs d'onde multiples et à un certain nombre d'altitudes. Zerefos dit que c'était de bonnes nouvelles que
désormais moins de rayons UV dangereux  dardent ses rayons sur des zones densément peuplées, en ajoutant que les données s'appliquent également aux régions où les stations de mesure ne sont pas situés.
Les scientifiques ont conclu que la couche d'ozone a déjà commencé sa légère guérison en 1995. Ironiquement, pendant la même période, le fait que des mesures plus strictes ont été mises en œuvre de protection de l'environnement dans de nombreux pays a conduit à assainir l'air, ouvrant ainsi la voie pour que les gens puissent être exposés à de plus grandes quantités de rayons UV dangereux.
Mais depuis 2007, cet effet de filtre à air et une plus grande exposition aux rayons UV a été dépassé par une guérison de la couche d'ozone, conclurent Zerefos et ses collègues. Ils croient que l'année 2007 a marqué un tournant pour la couche de protection dans l'atmosphère. Par rapport à cette année, il ya aujourd'hui entre deux et quatre pour cent moins d'exposition UV-B sur le terrain. Rayons UV B peuvent pénétrer profondément dans la peau et, à fortes doses, sont considérés comme particulièrement dangereux.
Menace de l'exposition persisteMais même si le danger a été réduit, le signal de fin d'alerte n'a pas été donnée pour le moment. Ozone experts Rex avertit qu'une exposition dangereuse est encore possible en Europe et dans les parties septentrionales de l'Asie et l'Amérique du Nord, en particulier au cours du printemps. Ces dernières années, le refroidissement inhabituellement fort de la hausse des niveaux de l'atmosphère a, dans plusieurs cas ont conduit à une perte importante, mais temporaire de la couche d'ozone dans les latitudes plus élevées. Et en 2011, les zones où la couche d'ozone avaient disparu à plusieurs reprises sur l'Europe.
En 2011, les scientifiques parlaient pour la première fois d'un trou d'ozone dans le nord qui a été cinq fois la taille de l'Allemagne. Jusque-là, appauvrissement de l'ozone avait été principalement isolé au pôle Sud. Il fait plus froid au-dessus du désert de neige de l'Antarctique, et à moins 78 degrés Celsius (-108 degrés Fahrenheit), la couche d'ozone commence à se retirer. En dessous de ce seuil de la destruction des CFC commence, accéléré par le soleil printanier.
Les chercheurs sont perplexes quant à pourquoi les couches supérieures de l'atmosphère se refroidissent si vite dans le nord aussi. Il semble certain que les rejets d'échappement des voitures et des usines ont contribué à la chute de température:le gaz à effet de serre comme le dioxyde de carbone, d'air chaud près de la surface de la terre, effectivement causer le refroidissement dans les couches supérieures de l'atmosphère. Pourtant, cet «effet de serre inverse», explique qu'une partie du refroidissement. Ce n'est que lorsque tous les CFC auront disparu de l'air que la destruction arrêtera- mais qui va encore prendre des décennies, selon l'Organisation météorologique mondiale.


Speigel 

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