vendredi 30 mars 2012

La Terre sous pression, le bien-être de l'humanité menacé


LONDRES - Notre planète est "sous pression" et risque de ne plus pouvoir assurer le bien-être de la civilisation si rien n'est fait pour y remédier, ont averti des scientifiques de renom à l'issue d'une conférence à Londres pour préparer le sommet de Rio+20 en juin.
Raréfaction de l'eau, pollution, extinction massive d'espèces vivantes, crise alimentaire... Dans leur déclaration intitulée "L'état de la planète" et publiée à l'issue de quatre jours de discussions, ces experts soulignent que la Terre et ses habitants sont désormais confrontés à des défis sans précédent.
"La poursuite du fonctionnement de la Terre, en tant que système qui a contribué au bien-être de la civilisation humaine au cours des derniers siècles, est en jeu", résume la déclaration signée par les participants de la conférence "Planète sous pression".
"Ces menaces risquent d'intensifier les crises économiques, écologiques et sociales et peuvent créer une situation d'urgence humanitaire à l'échelle de la planète tout entière", assurent-ils.... lire la suite sur 20 minutes

Je ne publie pas la suite car le mot drastique signifie encore plus de taxe!

Les mesures a prendre sont certes radicales et quand on voit que les plus gros pollueurs refusent de signer un protocole, on se demande bien comment vont ils s'y prendre pour les y obliger cette  fois ci ? Surtout quand on voit a la vitesse que les  pays se ruent sur l'exploitation de gaz de schiste, pesticides, deforestation, chemtrails...Ahhhhhhh chaque point a sont revers! Séismes, désertification, acidification,  intempéries...un effet papillon catastrophique!!! et pourquoi ???  Enrichir les plus riches encore plus qu'ils ne le sont!!!!!

Réchauffement climatique : il pourrait être plus rapide que prévu

Par Futura-Sciences - Mercredi 28 mars, 17h00

Un nouveau modèle climatique a vu le jour. Avec 9.745 combinaisons différentes des trois paramètres souvent sources d’incertitudes : la sensibilité du climat au CO2 atmosphérique, la présence d’aérosol dans l’air et la quantité de chaleur absorbée par les océans. Une conclusion s’impose : la Terre pourrait se réchauffer plus vite que prévu d'ici 2050.
De nombreuses simulations sont utilisées pour prédire l’augmentation des températures durant le XXIe siècle. Elles reposent sur la modélisation de divers phénomènes physiques et chimiques. Pourtant, il est difficile d’étudier les conséquences de variations affectant un seul et unique paramètre tant la machinerie climatique est complexe. Par conséquent, les modèles climatiques reposent bien souvent sur un certain nombre d’incertitudes pouvant affecter les résultats.
Les conséquences des perturbations peuvent être étudiées à plusieurs échelles différentes. Certains climatologues développent des modèles couvrant de grandes zones géographiques, souvent le monde entier, mais ils doivent alors simplifier de nombreux paramètres. D’autres établissent des simulations à l’échelle régionale. Celles-ci peuvent être plus complexes mais se focalisent souvent sur des paramètres précis, tels que les échanges de chaleur entre l’atmosphère et les océans, négligeant d’autres pourtant significatifs.
Daniel Rowlands de l’université d’Oxford a présenté, en partenariat avec de nombreux chercheurs, des résultats de simulations dans la revue Nature Geoscience. Le but : tester les rôles joués par les paramètres causant le plus d’incertitudes pour ensuite estimer le réchauffement climatique à court terme. Petite particularité, le nouveau modèle prédit l’évolution des températures pour plusieurs régions ou bassins océaniques du Globe. Une conclusion s'impose, la Terre pourrait se réchauffer plus vite que prévu d'ici 2050.
Prévisions des émissions totales de dioxyde de carbone jusqu'en 2030 (à partir des données allant jusqu'en 2009).
Prévisions des émissions totales de dioxyde de carbone jusqu'en 2030 (à partir des données allant jusqu'en 2009). © Données EIA - adaptation Futura-Sciences
Un réchauffement supérieur aux prévisions du Giec ?
Les auteurs ont utilisé un modèle exploité par l’agence météorologique britannique (HadCM3L) qui intègre des informations sur le cycle des sulfures (un aérosol) dans l’atmosphère et sur la dynamique des océans (résolution : 3,75 ° de longitude pour 2,5 ° de latitude). Ils ont ensuite cherché à comprendre l'importance de la sensibilité du climat face à l’augmentation de la concentration en CO2 atmosphérique, du taux d’absorption de la chaleur par les océans et du refroidissement causé par la présence d’aérosols dans l’atmosphère en faisant varier ces paramètres selon 9.745 combinaisons différentes.
Tous les modèles ont néanmoins un point commun, la concentration en CO2 intégrée dans les calculs évolue au cours du temps, passant de 392 parties par million (valeur actuelle) à 520 ppm (valeur prévue en 2050). Ce scénario est qualifié d’intermédiaire. Les simulations ont produit des résultats couvrant l’évolution du climat à partir de 1920 et jusqu’en 2080. Les courbes obtenues pour chaque région du monde ou bassin océanique ont été comparées aux valeurs mesurées sur le terrain entre 1960 et 2010, soit sur une durée de cinquante ans. Les modèles fournissant des données différentes de la réalité pour plus de 20 entités géographiques (soit environ un tiers d’entre eux) n’ont pas fait l’objet d’analyses plus approfondies. 
Les modélisations ayant franchi le test éliminatoire prévoient une augmentation des températures de 1,4 à 3,0 °C d’ici 2050, par rapport à la période 1961-1990. Les valeurs les plus élevées sont supérieures de 0,5 à 0,75 °C à celles prédites dans le dernier rapport du Giec. Le réchauffement climatique pourrait donc être plus rapide que prévu.
Par Quentin Mauguit, Futura-Sciences
Retrouvez cet article sur Futura-Environnement, le nouveau magazine de l'environnement

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Sécheresses, chaleurs et pluies intenses seront plus fréquentes dans l'avenir

  © reuters.
Des vagues de chaleur plus fréquentes, des sécheresses plus marquées et dans certaines régions des pluies plus violentes: avec le réchauffement, la planète doit se préparer à une intensification des épisodes météorologiques extrêmes, rappellent les experts du climat.
© afp.
© afp. Le "principal message" du rapport publié mercredi par le Giec est que "nous en savons assez pour prendre les bonnes décisions sur la façon de gérer les risques de catastrophes liées au climat", selon Chris Field, l'un des responsables du groupe d'experts de référence sur le changement climatique.

Ce rapport de 592 pages, dont les conclusions majeures avaient été publiées en novembre, est la synthèse la plus complète à ce jour pour mieux explorer les liens pouvant exister entre le réchauffement de la température globale liée aux émissions de gaz à effet de serre (GES) et les événements météorologiques comme les cyclones, les pics de chaleur, les sécheresses ou les submersions..lire la suite sur 7/7

 Lire cet article qui résume bien la façon de nos dirigeants pour régler le problème.

MANIPULER LES HUMAINS POUR SAUVER LE CLIMAT

c'est la peste ou le choléra que l'on nous propose!!!

Voir aussi: 

LES BIENS COMMUNS DE L'HUMANITE EN DANGER

L’ALIMENTATION PAS CHERE, C’EST FINI !

Réduire les émissions de méthane pour retarder le changement climatique

Les villes en première ligne face au réchauffement climatique

 Article vu sur: module mère comment va la terre bleue?

5 commentaires:

  1. l'humanité se dirige vers un point de non retour, le chaos...

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  2. Il y a quelque chose à faire et il y aura toujours quelque chose à faire mais les humains ne veulent pas assumer quand on leur dit d'arrêter de manger de la viande.

    Si tout le monde arrêtait simultanément la consommation et la production animale on ralentirait le réchauffement de la planète et les catastrophes qui en découlent considérablement:
    Un rapport de l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) abondamment cité estime que 18 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre et d’équivalents CO2 proviennent du bétail, ce qui représente une part beaucoup plus importante que celle imputable aux transports. Une étude plus récente élève cette proportion à 51 %. C'EST ÉNORME ! Sans compter la déforestation qu'engendre l'élevage de bétail, encore du mal que l'on fait à notre belle planète en plus des animaux !

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  3. Entiérement d'accord avec Marie-Christine.

    Arrêtons de manger les animaux, tous, maintenant, car l'heure est grave !
    Nous n'avons pas plusieurs alternatives, celle-ci est la première, la seconde vivons dans la simplicité volontaire, la troisième aimons-nous, devenons solidaires, fraternels.

    Alors la TERRE-MÉRE reconnaitra Ses Enfants et les catastrophes seront minimes...

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  4. Arrêtons surtout d'acheter tout ce qu'il veulent nous vendre,quand je dit tout sa de la télé au téléphone portable etc...
    C'est nous même qui ruinons la terre a force de vouloir a tout pris le meilleur dans ce bas monde.

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  5. Dsl pour le retard dans les com mais j'ai de la famille a la maison :)

    Mais les peuples occidentaux sont ils prêts a faire ces sacrifices! ne serait ce que faire attention a ce qu'il consomme? nooooooon pas encore regarder le caddie des autres quand vous faites vos courses ou les produits en tête de gondole. Que de la merde nocive pour nos organismes et malgré ca part comme des pti pains loooool

    Pour la viande je suis d'accord Marie Christine mais vu le débat autour du cochon ou le halal c'est pas prêt de s'arrêter car la vrai question sur le massacre en masse n'a pas été évoqué :(
    de plus tu n'as pas mentionné que pour les élevages ils consomment une grande quantité d'eau! Trésor qui deviendra rare si l'homme (hémisphère nord) ne prend pas conscience de sa valeur :(

    Mais c'est vrai qu'il faudrait tout arrêter cher anon car comme dis frost c'est le chaos qui nous attend si la prise de conscience n'est pas immédiate!

    Bon après midi a vous :)

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