La Bienne (39) serait la nouvelle rivière-tombe des truites et des ombres dans la région.
Nicolas Germain, un pêcheur jurassien, a constaté ces derniers temps une mortalité anormale des truites et des ombres dans la Bienne. Après la Loue et le Doubs, les autorités de la pêche s'inquiètent.
La vidéo qu'il a posté sur Youtube parle pour lui : les poissons meurent anormalement dans la rivière Bienne en ce mois de mars 2012 :
Nicolas Germain est pêcheur. Il s'inquiète vivement de cette mortalité anormale et nouvelle. Après la Loue et le Doubs, les suspicions de pollution viennent naturellement à l'esprit.
Les autorités de la pêche, dont l'Association agrée de pêche et de protection du milieu aquatique (AAPPMA), l'Office national de l'eau et des milieux aquatiques (ONEMA) et la Fédération de pêche, se pencheraient déjà sur le problème.
Nicolas Germain, un pêcheur jurassien, a constaté ces derniers temps une mortalité anormale des truites et des ombres dans la Bienne. Après la Loue et le Doubs, les autorités de la pêche s'inquiètent.
La vidéo qu'il a posté sur Youtube parle pour lui : les poissons meurent anormalement dans la rivière Bienne en ce mois de mars 2012 :
Nicolas Germain est pêcheur. Il s'inquiète vivement de cette mortalité anormale et nouvelle. Après la Loue et le Doubs, les suspicions de pollution viennent naturellement à l'esprit.
Les autorités de la pêche, dont l'Association agrée de pêche et de protection du milieu aquatique (AAPPMA), l'Office national de l'eau et des milieux aquatiques (ONEMA) et la Fédération de pêche, se pencheraient déjà sur le problème.
Sott.net
Le gérant du plan d'eau d'Ayron vient de recevoir les analyses engagées à ses frais pour déterminer les raisons de la mortalité qui touchent les poissons du site.
Les résultats, reçus vendredi dernier, montrent que les poissons morts ne sont porteurs d'aucun germe de bactérie pathogène et que l'eau n'a pas connu de pollution par hydrocarbures, comme ce fut le cas il y a quelques années.
Depuis le 22 février, le plan d'eau d'Ayron, alimenté par la rivière la Vendelogne, voit des poissons qui meurent. Un phénomène qui a interpellé Vincent Rassinoux, gérant du site appartenant à la communauté de communes du Vouglaisien. (voir cet ancien article)
L'endroit est depuis plusieurs années un centre technique de pêche (VIP Pêche) et un magasin de pêche y a vu le jour il y a plus d'un an. Depuis le début du phénomène inexpliqué des centaines de kilos de poissons sont morts.
D'autres meurent toujours et Vincent Rassinoux a constaté à l'arrivée de la Vendelogne que surnagent des traces de gras qui l'interpellent.
Ne comprenant pas la cause des décès des poissons, il va poursuivre les analyses. La pêche sur le plan d'eau se poursuit, sauf que le poisson n'est pas consommable.
La semaine dernière, la fédération de pêche avait indiqué que, selon elle, aucune mortalité anormale de poissons ni d'invertébrés n'avait été relevée en amont ou en aval du plan d'eau.
Source © la nouvellere publique
France, Vienne, le mystère demeure sur la cause de la mortalités des poissons du plan d'eau d'Ayron
Le gérant du plan d'eau d'Ayron vient de recevoir les analyses engagées à ses frais pour déterminer les raisons de la mortalité qui touchent les poissons du site. Les résultats, reçus vendredi dernier, montrent que les poissons morts ne sont porteurs d'aucun germe de bactérie pathogène et que l'eau n'a pas connu de pollution par hydrocarbures, comme ce fut le cas il y a quelques années.
Depuis le 22 février, le plan d'eau d'Ayron, alimenté par la rivière la Vendelogne, voit des poissons qui meurent. Un phénomène qui a interpellé Vincent Rassinoux, gérant du site appartenant à la communauté de communes du Vouglaisien. (voir cet ancien article)
L'endroit est depuis plusieurs années un centre technique de pêche (VIP Pêche) et un magasin de pêche y a vu le jour il y a plus d'un an. Depuis le début du phénomène inexpliqué des centaines de kilos de poissons sont morts.
D'autres meurent toujours et Vincent Rassinoux a constaté à l'arrivée de la Vendelogne que surnagent des traces de gras qui l'interpellent.
Ne comprenant pas la cause des décès des poissons, il va poursuivre les analyses. La pêche sur le plan d'eau se poursuit, sauf que le poisson n'est pas consommable.
La semaine dernière, la fédération de pêche avait indiqué que, selon elle, aucune mortalité anormale de poissons ni d'invertébrés n'avait été relevée en amont ou en aval du plan d'eau.
Source © la nouvellere publique
Regardez voir s'ils ont mangé....y a t-il quelque chose dans leurs intestins ?
RépondreSupprimerbonne question anon ;) mais c'est pas préciser comment ils mènent leur enquête :(
RépondreSupprimerCyanotoxines peut-être ?
RépondreSupprimerqu'aucune attaque à Paris ne étaient pas bonnes hein ???? au contraire, beaucoup !!!!!!!!!!! beaucoup de salutations des Pays-Bas. et de nombreux sucses
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