jeudi 30 juin 2011

La mer monte plus rapidement que durant ces deux derniers millénaires sur les côtes américaines



mer_Nights_Rodanthe
 La mer est au pied de la maison visible dans le film "Nights in Rodanthe" (Le temps d'un Ouragan) en Caroline du Nord - USA
© Andrew Kemp / Yale University
 
Le rythme d'élévation du niveau de la mer le long de la côte Atlantique des Etats-Unis n'a jamais été aussi rapide au cours des deux derniers millénaires et apparaît comme étroitement lié avec le niveau moyen des températures à la surface de la mer et au niveau des océans. Le compte rendu de ces informations est publié dans la revue Proceedings of the National Academy of Sciences (PNAS) parue cette semaine.
"Le fait que nous disposions de données précises sur l'évolution du niveau de la mer au cours des deux derniers millénaires nous donne un précieux contexte pour comprendre et anticiper les changements actuels et leur évolution probable à l'avenir," commente Paul Cutler, qui dirige le programme au département des Sciences de la terre du NSF. Il ajoute que "ces données sont particulièrement précieuses pour prévoir l'évolution des systèmes côtiers, qui accueillent plus de la moitié de la population mondiale aujourd'hui."
Pour le Dr Kemp(1), "les scénarios de l'élévation future du niveau de la mer dépendent de la compréhension que nous avons du lien entre le niveau de la mer et les changements climatiques. L'exactitude des estimations passées concernant la variabilité du niveau de la mer constitue un contexte fiable pour les projections futures."
Le Dr Kemp et ses collègues ont mis au point la première reconstitution en continu de l'évolution du niveau de la mer au cours des deux précédents millénaires, et établi une comparaison entre les variations de la température du globe et la variation du niveau de la mer sur cette période.
L'équipe a trouvé que le niveau de la mer est resté relativement stable de 200 avant Jésus Christ à 1 000 après Jésus Christ. Au 11ème siècle, le niveau de la mer s'est élevé d'environ un demi-millimètre par an pendant 400 ans, en lien avec une période de climat chaud appelé « Optimum climatique médiéval ».
Il s'en est suivi une seconde période de stabilité du niveau de la mer au cours d'une période plus fraîche baptisée le « Petit âge glaciaire ». Cette période a duré jusqu'à la fin du 19ème siècle.
Depuis la fin du 19ème, le niveau de la mer s'est élevé en moyenne de plus de 2 millimètres par an, le rythme le plus rapide observé depuis plus de 2 100 ans.
"L'élévation du niveau de la mer est un des résultats potentiellement désastreux du changement climatique," souligne le professeur Horton, "car l'élévation des températures fait fondre les glaces terrestres et augmente la température des océans."
Les chercheurs ont pu reconstituer le niveau de la mer à l'aide de microfossiles ou foraminifères préservés dans les filons de sédiment extraits des marais salants côtiers en Caroline du Nord. L'âge des filons a été estimé notamment grâce à la datation par le carbone.
Pour vérifier la validité de son approche, l'équipe a comparé ses reconstitutions avec les mesures marégraphiques faites en Caroline du Nord au cours des 80 dernières années ainsi que celles effectuées au niveau mondial depuis 3 siècles. Une seconde reconstitution effectuée dans le Massachusetts a également confirmé les résultats de l'équipe.
Les chercheurs ont ensuite procédé à la correction des données pour tenir compte de la part de l'élévation du niveau de mer dû aux mouvements de terrain verticaux.
Les chercheurs confirment que leur reconstitution de l'évolution du niveau de la mer au cours du dernier millénaire est correlée avec l'historique d'évolution des températures terrestres et peut valablement être déterminée à l'aide d'un modèle associant cette élévation à celle de la température du globe. "Les données concernant le passé ont permis de calibrer notre modèle et contribueront à améliorer les projections d'élévation du niveau de la mer en fonction des scénarios de réchauffement climatique," note le Dr Rahmstorf.

Notre-planete.info

Le Japon étend la zone d'évacuation après l'accident de Fukushima, la Criirad dénonce des carences graves

Le Japon a décrété jeudi quatre nouvelles poches d'évacuation à proximité de la centrale nucléaire accidentée de Fukushima (nord-est), où des niveaux élevés de radioactivité ont été détectés, ont annoncé des responsables locaux.

Cette décision concerne 113 foyers de la ville de Date, située à une soixantaine de kilomètres au nord-ouest de la centrale Fukushima Daiichi, gravement endommagée par un tsunami le 11 mars.

Les autorités ont relevé des niveaux élevés de radioactivité, au-delà de la limite légale de 20 millisieverts par an fixée par le gouvernement, dans les districts de Ryozenmachi, Kamioguni, Shimooguni et Tsukidatemachi.

Le gouvernement offrira une aide financière aux familles acceptant de quitter leur domicile, a précisé un responsable local.

Plus de 85.000 personnes ont été évacuées dans un rayon de 30 kilomètres autour de la centrale et vivent depuis la catastrophe dans des abris de fortune en espérant pouvoir un jour rentrer chez eux.

Par ailleurs, une étude menée sur dix enfants vivant dans la ville de Fukushima, à 62 kilomètres du site atomique, a révélé la présence d'une petite quantité de substances radioactives dans leur urine, ont annoncé une association de citoyens et une ONG française.

Tous les échantillons prélevés en mai sur ces enfants âgés de 6 à 16 ans étaient contaminés en césium 134 et césium 137 à des concentrations allant de 0,4 à 1,3 becquerels par litre, a précisé dans un communiqué l'Acro (Association pour le contrôle de la radioactivité de l'Ouest), créée en France à la suite de la catastrophe nucléaire de Tchernobyl en 1986.

Les analyses ont été effectuées dans un laboratoire français à la demande d'une association de citoyens de Fukushima.

Ces résultats devraient inciter les autorités japonaises à mesurer systématiquement la contamination interne des habitants qui ont été exposés aux panaches radioactifs et de ceux qui vivent dans les territoires contaminés, a estimé l'Acro.

Cela nous conforte aussi dans l'idée que la limite (de 20 millisieverts) fixée par les autorités japonaises pour déterminer les zones d'évacuation est trop élevée, a-t-elle ajouté.


Source: ©AFP / 30 juin 2011

_____________________________________________________________________________________



_____________________________________________________________________________________

De son coté la Criirad* dénonce des carences graves

Au retour d'une mission au Japon, la Criirad a dénoncé hier des "carences graves" dans la gestion de la catastrophe de Fukushima par les autorités japonaises. Le laboratoire indépendant, un nouveau Tchernobyl est en train de se produire dans la péninsule nipponne.

A son retour du Japon, Bruno Chareyron, ingénieur en physique nucléaire et membre de la Criirad se veut très critique vis à vis des autorités japonaises. Il évoque en effet des "carences graves" dans la gestion de la crise nucléaire qui a touché le pays après le séisme du 11 mars dernier. "Comment la gestion peut-elle être aussi déplorable, 25 ans après Tchernobyl ?" s'interroge-t-il lors d'une conférence de presse organisée hier.

Des risques de cancer inacceptables

Il déplore la lenteur avec laquelle les pastilles d'iode ont été distribuées à la population touchée par les risques d'exposition, "alors qu'il faut les ingérer trois heures avant l'exposition". Plus grave encore, on laisserait encore des personnes consommer des aliments contaminés. Il revient également sur le périmètre mis en place par les autorités qui se révèle selon lui trop juste quant aux risques d'exposition réels.

"Bien au-delà de la zone interdite de 20 km autour de la centrale, il y a des doses de radioactivité qui induisent des risques de cancer inacceptable" a expliqué l'ingénieur du laboratoire indépendant français, lors de cette conférence de presse. "On tolère sur place un taux de risque de cancer 20 fois supérieur à celui communément admis" ajoute-t-il.

La Criirad explique ces impairs dans la gestion de la crise par des raisons économiques. "Pour des raisons économiques, on fait au Japon ce qu'on a fait à Tchernobyl, on n'évacue pas" des populations "qui vivent dans des zones très contaminées" car leur indemnisation coûterait trop cher, confie de son côté Roland Desbordes, le président de l'organisation, à l'AFP.

La CRIIRAD* est un laboratoire indépendant qui a pour vocation de contrôler et d'informer les populations sur les pollutions radioactives et les risques liés au nucléaire,d'obtenir la mise en place de toutes mesures de protection sanitaire jugées nécessaires.
Sa spécificité est d'être indépendante des exploitants du nucléaire,de l'Etat et de tous partis politiques.
 
Nature alerte

Des géologues disent que le méga-séisme de Californie est imminent: une nouvelle étude laisse craindre le pire à court terme

* Ce fait est annoncé depuis de nombreuses années et les habitants de Californie savent très bien le risque encouru en étant logé sur une zone sismique capable de jeter ce segment du pays dans l'Océan Pacifique.  Toutefois, depuis le début 2011, ces avertissements se sont intensifiés de façon très significative et les rapports sur ce sujet sont très nombreux depuis les 3 derniers mois, dont voici la plus récente étude.


Comme une marmite fumante, une pression se construit sous la surface de la Californie, ce qui pourrait déclencher un tremblement de terre monstre à tout moment.  C'est la conclusion d'une nouvelle étude de l'Institut d'océanographie Scripps.  Les géologues disent que la Californie du Sud est depuis longtemps une zone réputée être à risque d'un tremblement de terre pouvant causer des dommages étendus.  Le tout se résume à la mer de Salton, qui se trouve à l'est de San Diego.  "The Salton Sea" se trouve directement sur la faille de San Andreas et couvre plus de 350 milles carrés.  Un grand tremblement de terre a frappé le fond des eaux à tous les 180 ans.  Lorsque les fonctionnaires ont commencé la construction de barrages de la rivière Colorado pour réduire les inondations en aval (y compris dans la Salton Sea), les tremblements de terre modérés ont cessé pour la mer de Salton.  Une bonne chose vous direz?  Pas nécessairement.  Les sismologues pensent que le barrage a arrêté les tremblements de terre modérés, mais maintenant, ils craignent que la pression se soit accumulée et que la région pourrait être jusqu'à 100 ans en retard pour un séisme de magnitude 7.5 ou plus.

L'homme moderne n'a pas coexisté avec son ancêtre "Homo erectus"

 
  L'homme moderne n'aurait jamais coexisté avec son ancêtre Homo erectus, qui serait beaucoup plus ancien que ce que l'on croyait jusqu'à présent, selon des travaux scientifiques, publiés mercredi 29 juin, qui apportent un nouvel éclairage sur la nature de l'évolution humaine.
Homo erectus est considéré comme un ancêtre direct d'Homo sapiens (ou "homme moderne"). Il lui ressemblait sous de nombreux aspects, à l'exception du cerveau, qui était plus petit et de la forme du crâne.

LES MYSTÈRES DE L'ÎLE DE JAVA

Homo erectus a été le premier de nos lointains cousins à émigrer hors de l'Afrique, il y a 1,8 million d'années. Il s'est éteint sur le continent africain et une grande partie de l'Asie il y a 500 000 ans, mais il semblait avoir survécu jusqu'à une période allant de 50 000 à 35 000 ans avant notre ère sur le site de Ngandong, sur les rives du fleuve Solo, dans l'île de Java en Indonésie.
Le dernier Homo erectus aurait ainsi pu partager ces lieux avec les premiers membres de notre espèce, Homo sapiens, dont l'arrivée en Indonésie remonte à 40 000 ans. Les dernières datations sur lesquelles s'appuyait cette hypothèse avaient été effectuées en 1996 sur des dents d'animaux et des restes fossilisés d'hominidés.
Toutefois, le fait que les dents fossilisées d'animaux soient mélangées dans les couches de sédiments avec des fossiles d'hominidés beaucoup plus anciens avait suscité des interrogations quant à l'âge réel de celles-ci.
Depuis 2004, une équipe internationale d'anthropologues, codirigée par Etty Indriati, de l'université Gadjah Mada, en Indonésie, et par Susan Anton, de l'université de New York, a conduit le projet Solo River Terrace (SORT) et fait de nouvelles analyses en recourant à différentes méthodes de datation.

"ORIGINE MULTIRÉGIONALE"

Les chercheurs ont déterminé que les fossiles d'hominidés, les dents d'animaux et les sédiments sur ces sites dataient tous de la même époque. Quelles que soient les méthodes utilisées, elles donnent un âge maximum et un âge minimum qui, dans les deux cas, remontent à une période plus ancienne que la datation des premiers fossiles d'Homo sapiens découverts en Indonésie.
De ce fait, "les homo erectus n'ont probablement jamais coexisté dans cet habitat avec les humains modernes", souligne Etty Indriati. Les analyses menées dans le projet SORT laissent penser que Homo erectus s'est éteint il y a 143 000 ans au plus tard et, plus généralement, il y a 550 000 ans.
Une coexistence d'Homo erectus et des humains modernes aurait conforté la théorie selon laquelle ces derniers auraient remplacé leurs ancêtres au cours de l'évolution. En revanche, le second modèle dit "d'origine multirégionale" (suivi par le projet SORT) tend à montrer que les humains modernes seraient issus de multiples contributions génétiques de différents groupes d'hominidés ayant vécu en Afrique, en Asie et en Europe.

Le monde

Vous ne devez pas comprendre pourquoi je publie cette article. C'est tout simplement parce  que nous avions toujours pensé que l'homme de Néandertal avait survécu à l'inversion des pôles magnétiques terrestres. cette découverte montrerait juste que l'homme moderne l'a replacé et s'est adapté aux changements liés à ce phénomène.



L'énorme trou dans la couche d'ozone, est il lié au réchauffement climatique ou a cette inversion encours???

Les traînées des avions rechauffent bien la planète


Les avions à réaction volent à haute altitude car cela leur fait réaliser des économies ; il y fait froid, ce qui améliore le rendement d’une machine thermique, et l’air est moins dense pour une traînée aérodynamique plus faible. Le souci toutefois est que les moteurs forment de belles traînées blanches que l’on remarque souvent en levant les yeux.
Des chercheurs ont volé derrière des Airbus A319 et A380 et analysé les « contrails » (traînées de condensations). Ils ont conclu qu’elles emprisonnent les rayonnements infrarouges. Cela signifie en simple que l’on réchauffe l’atmosphère. On a calculé que si cet effet était répandu sur tout le globe, on emprisonnerait 15,9 milliwatts de puissance par mètre carré. C’est environ 1 % de ce que capte le CO2 produit depuis la révolution industrielle.
http://news.sciencemag.org/sciencenow/2011/06/scienceshot-contrails-warm-the.html
http://www.sur-la-toile.com/article-11379-Les-trainees-des-avions-rechauffent-bien-la-planete.html

Realinfos

Mais qu'elles sont réellement les répercussions de ces épandages ???

Les mots de Laurent à Nagano, Japon

Beaucoup ne comprennent pas ou refusent de lire des articles complets, mais comme ce fut le cas pour Alex, Laurent témoigne et nous explique un peu ce qu’il en est, triste et effrayant

Quantcast
Un témoignage à écouter absolument, celui de Laurent Mabesoone, habitant à Nagano depuis 15 ans, papa d’une petite fille de 2 ans.
Comment comprendre l’indicible réalité des habitants du Japon ?
Ecoutez-le.

Les moutons enragés

Désaccord sur le risque d'inondation à la centrale de Fessenheim

http://fr.wikipedia.org/wiki/Centrale_nucl%C3%A9aire_de_Fessenheim
COLMAR (Reuters) - Le Conseil général du Haut-Rhin a demandé jeudi à EDF de mettre sa centrale de Fessenheim à l'abri d'un risque d'inondation mais l'entreprise publique juge l'événement trop improbable pour en tenir compte.
L'Autorité de sûreté nucléaire (ASN) doit rendre dans les prochains jours son avis, dont elle a déjà dit qu'il serait sans doute positif, quant au maintien en activité pour dix années de plus du réacteur numéro 1 de la centrale de Fessenheim.
Une étude du service Environnement du département estime que les "diguettes" qui entourent la plus ancienne centrale de France, mise en service en 1977, pourraient être submergées en cas de rupture de la digue du Rhin et que le niveau de l'eau pourrait atteindre un mètre autour du site.
"Le Conseil Général souhaite que les préconisations de ses services techniques soient pleinement prises en compte par EDF, et l'Autorité de l'ASN, seule autorité habilitée à exiger des renforcements de la sécurité", a déclaré le département dans un communiqué publié en fonction de cette étude.
Georges Walter, le directeur du service environnement du département, a reconnu que la probabilité était "très faible" en présentant à Colmar son étude hydraulique devant la Commission locale d'information et de surveillance de la centrale nucléaire (Clis) qui l'avait commandée.
"Mais l'Etat français a considéré que, tant que le risque n'était pas de zéro, il fallait tenir compte de la vulnérabilité de ce qui est derrière", a-t-il ajouté en se référant aux normes imposées aux collectivités pour les ouvrages hydrauliques.
LES ALLEMANDS INQUIETS
EDF n'a pas nié que le centre de production nucléaire de Fessenheim puisse être affecté par une rupture de la digue du canal d'Alsace, qui maintient le Rhin à huit mètres plus haut, mais a soutenu que l'événement était hautement improbable.
François Laigle, l'un de ses expert géotechniciens, a retenu l'hypothèse d'un séisme majeur pour conclure que la digue ne souffrirait d'aucun dommage important.
Les fuites susceptibles d'apparaître entre les plaques de béton armé qui assurent son étanchéité ne dépasseraient pas, selon lui, sept mètres cubes par seconde.
La centrale a été conçue pour rester au sec face à un flux de 20 m3/s alors que le département, qui retient l'hypothèse d'une brèche par érosion interne, envisage 500 m3/s au plus fort de la crue.
L'étude avait été commandée par la Clis après l'accident de Fukushima au Japon, où un tsunami avait submergé la centrale nucléaire, mettant hors service ses systèmes de refroidissement.
La prise en compte d'un risque d'inondation majeure supposerait de rehausser les diguettes qui entourent la centrale et de détruire une ancienne digue du Rhin qui constitue un frein à l'étalement d'une vague d'eau dans la plaine alsacienne.
"On est ici pour imaginer l'improbable", a estimé Michel Habig, président de la Clis et vice-président UMP du Conseil général, en réponse au refus d'EDF d'envisager un tel scénario.
Il a reçu l'appui de son voisin allemand, le Regierung Praesident - un équivalent du préfet - de la région de Fribourg
"Je voudrais souscrire à vos conclusions. Il faut éviter ce cas de figure même si la probabilité est faible. Le débat tel qu'il a été mené ne me satisfait pas", a dit Julian Würtenberg.
Gilbert Reilhac, édité par Yves Clarisse

Meme si le japon tremble souvent, le risque d'un séisme a 9 paraissait improbable mais pourtant... 
On voit les inondations sévir partout dans le monde mais pour quoi cela se produirait en Alsace a coté d'un fleuve???
Il serait temps d'arrêter de nous prendre pour des jambons car improbable ne signifie pas impossible!!!

Hier un mini tsunami a touché la côte sud de l'angleterre

Hier un mini tsunami a touché la côte sud de l’Angleterre

Un glissement de terrain sous-marin à 300 km des côtes est suspecté d'en être la cause

Les habitants, les vacanciers, et les pêcheurs de la côtes ont été surpris quand la marée s'est soudainement retirée de plus de 50 mètres sur les plages. Cette chute brutale a été immédiatement suivi par une vague raz de marée de 1 mètre de haut racontent des témoins.

Une vidéo amateur montre cette vague s’engouffrer dans l'estuaire de Yealm sur le Devon près de Plymouth.

La perception d’électricité statique dans l'air a été reporté par de nombreux témoins.

Le phénomène a été ressenti de Penzance dans les Cornouailles jusqu'à Porsmouth dans le sud de l'Angleterre.
 
 
Nature alerte

L'astrophysicien et météorologiste Piers Corbyn dit pouvoir prédire des tremblements de terre et des extrêmes climatiques: d'ici au 2 juillet, un séisme majeur pourrait se produire

Il base ses prédictions sur la variabilité de l'activité du soleil, sur l'interaction électromagnétique avec la Terre et sur plusieurs autres phénomènes célestes qui prédisposent ou déclenchent des séismes ainsi que des évènements climatiques extrêmes.  Ces éléments de référence sont de plus en plus réputés être responsables des cataclysmes et autres désordres climatiques, comme en témoignent de nombreux rapports et études scientifiques.  En fait, pour des néophytes comme nous, il nous apparait récent que les scientifiques puissent déterminer à l'avance certains désastres, mais j'ose croire que la communauté scientifique connait ces prédispositions célestes depuis bien longtemps...


Son site:
http://www.weatheraction.com/displayarticle.asp?a=356&c=5

Son passage sur la chaîne Aljeera où il prédit  (en anglais) un séisme entre le 27 juin et le 2 juillet 2011:



Conscience du peuple

On dit que le surnaturel est juste des faits que nous n'arrivons pas a expliquer mais qui sont explicables. A voir (dans un futur très proche)  si lui a une de nos réponse.

mercredi 29 juin 2011

Un sinkhole dans l'Ontario

Une portion de la route 148 près de Luskville dans l'Ontario s'est transformée en un cratère de 18 mètres, victime des fortes pluies de vendredi. Par chance, la famille vivant à proximité de ce trou géant possède une société de construction experte dans ce type exact de travail qui sera nécessaire pour réparer la route.

Non seulement James Nugent de chez R.H. Nugent Construction a 35 ans d'expérience sur la question, mais il possède en plus une lourde machinerie garée à seulement une centaine de mètres de la route effondrée.

« On nous a appelé aussitôt » dit-il. « Il n'y a rien de signé, mais nous démarrerons probablement les travaux dans le cadre d'une situation d'urgence. Ils veulent une entreprise qui peut démarrer tout de suite. » Nugent a dit que le débouché d'une grosse canalisation qui court sous ce tronçon de route semble s'être bouché. Les torrents d'eau le week-end dernier ont aggravé la situation entraînant une déformation de la canalisation et le sol au-dessus de cette canalisation s'est détrempé et a cédé.

Depuis l'effondrement initial, le cratère s'est élargi, avec plusieurs glissements de terrain sur le rebord. Il a dit que cela se reproduirait et que les gens devraient se tenir éloignés de 10 mètres de l'autre côté. « Ça pourrait lâcher n'importe quand ». Par ailleurs, même avec une entreprise à la porte à côté, experte dans le remplacement de telles canalisations, cela demandera probablement 6 mois de travail, a ajouté Nugent.
Cela aura des conséquences majeures pour les utilisateurs, bien sûr, car l'artère principale qui relie Ottawa et Gatineau à Pontiac sera hors service pour tout l'été.
Une bonne nouvelle est qu'un contournement de deux km est ouvert autour de la zone. Eddie Mc Cann, maire de Pontiac, a déclaré que cela allait demander un travail très rapide de la part des équipes municipales et provinciales pour réparer Parker Road, qui a également été endommagée par toute cette eau.
Traduit par Hélios 

Avalanches ou le réveil du volcan du mont Rainier ?

Le 29 juin 2011 SEATTLE, WA – certaines des plus grandes avalanches de roche au cours des années ont jailli du Mont Rainier au cours de plusieurs jours passés, le soulèvement élevant des nuages de poussière et propulsant des fleuves de débris boueux presque à deux miles en bas des flancs du volcan. Personne n'a été blessé, mais un groupe d'alpinistes a fui puisque la poussière est descendue sur leur tente après une chute de roches samedi après-midi.“ De mon point de vue du fait de regarder la montagne depuis 20 ans, nous avons eu probablement des chutes de roches comme cela se produit une fois tous les cinq ou 10 ans,” a dit Stefan Lofgren, le garde forestier de montée pour le Parc national du mont Rainier. 
Depuis le 24 juin, au moins 3 importantes chutes de roches et plusieurs plus petits ont mué de l'arête rocheuse appelée le Fendoir Nisqually, à une élévation d'environ 12 800 pieds. Celui qui a été libéré samedi après-midi était le plus grand. L'université de doctorant de Washington Max Stevens et de son père était sur le point de se diriger à travers le Glacier Nisqually pour rapporter un instrument GPS pour mesurer le mouvement du glacier. “Je l'ai entendu d'abord et j'ai levé les yeux et ai vu un bloc à la taille de maison de roche baissant le Fendoir de Nisqually,” a-t-il dit. Les 2 hommes étaient sur des skis. “Nous sommes sortis là,” a dit Stevens. “Ce nuage de poussière a rempli juste la cuvette.” Quand il est devenu clair, l'avalanche n'était pas  dans leur direction, Stevens a regardé les débris couler en bas du  glacier. “Il y avait des blocs de la taille de camion de glace coulant comme les cubes de glace dans un ruisseau d'eau,” a-t-il dit. “J'avais peur un moment … mais il a tourné vite à la stupéfaction pure.” Le garde forestier grimpant Chris Kalman était au Camp Muir, une destination de randonnée du jour populaire et le bivouac d'alpinistes à 10 080 pieds sur le côté sud de la montagne, au-dessus du Paradis. Le jour était ensoleillé et chaud quand un son comme une explosion a fendu l'air. “C'était énorme,” a dit Kalman. “Les gens étaient impressionnés. Les choses comme cela peuvent arriver seulement quelques fois dans une vie,” a-t-il dit. Un autre coup d'avalanche lundi. Les événements étaient assez grands pour s'inscrire sur les détecteurs de tremblement de terre et les sismologues à l'université de Washington ont appelé le parc pour voir si cela continuait.-Seattle Times
Le protocole d'extinction

Après de fortes chaleurs, de violents orages ont éclaté dans le Nord Est

http://www.alertes-meteo.com/cartes/temperatures.php

 France, records de température battus dans une grande partie du pays

L'air très chaud en provenance d’Afrique du Nord et de la péninsule ibérique a gagné le Nord de la France lundi 27 juin 2011.

Des températures supérieures à 35°C ont été enregistrées sur une grande partie du pays, notamment du Sud-Ouest à la Picardie, en passant par le Massif central, le Centre et l'Ile-de-France. Le thermomètre est monté jusqu'à 40,1°C à Decize dans la Nièvre. De nombreux records de chaleur pour un mois de juin ont été battus.

Dès le week-end des 25 et 26 juin 2011, une hausse spectaculaire des températures s'est produite sur la France. Les conditions anticycloniques ont permis à l'air très chaud présent sur la péninsule ibérique et le Maghreb de remonter et d'envahir tout le pays indique Météo-France. Ainsi, des températures supérieures à 35°C ont été enregistrées sur une grande partie du pays, notamment du Sud-Ouest à la Picardie, en passant par le Massif central, le Centre et l'Ile-de-France.

Lundi 27 juin, 17 départements faisaient l'objet d'une alerte canicule : l'Allier (03) dans la région Auvergne, la Saône-et-Loire (71) dans la région Bourgogne, le Cher (18) et le Loir-et-Cher (41) dans la région Centre, le Rhône (69) dans la région Rhône-Alpes, la Dordogne (24), la Gironde (33), les Landes (40) et le Lot-et-Garonne (47) dans la région Aquitaine, l'Indre (36) et l'Indre-et-Loire (37) dans la région Centre, le Maine-et-Loire (49) et la Sarthe (72) dans la région Pays-de-la-Loire, la Charente (16), la Charente-Maritime (17), les Deux-Sèvres (79) et la Vienne (86) dans la région Poitou-Charentes.

Les températures ont souvent dépassé 30 degrés, mais les régions du Sud-Ouest ont connu les plus fortes chaleurs. Bordeaux a battu son record de chaleur pour un mois de juin : 39,2°C ont été enregistrés (contre 38,5°C en 2003). Le thermomètre est monté jusqu'à 40,1°C à Decize dans la Nièvre et de nombreux records de chaleur pour un mois de juin ont été battus.
Températures maximales et records relevés lundi 27 juin 2011

Températures maximales du lundi 27 juin 2011
  • Boulogne-sur-Mer : 32,6°C (précédent record : 32,0°C le 03/06/1947)
  • Rouen : 34,2°C (égalise le précédent record du 27/06/1976)
  • Dunkerque : 34,4°C (précédent record : 33,8°C le 17/06/1917)
  • Limoges : 35,7°C (précédent record : 34,7°C le 22/06/2003)
  • Chartres : 36,3°C (précédent record 34,8°C le 26/06/1947)
  • Roissy : 36,5°C (précédent record : 35,2°C le 28/06/1976)
  • Troyes : 36,7°C (précédent record : 35,4°C le 30/06/1976)
  • Paris : 36,8°C (à 0,8°C du record)
  • Melun : 36,8°C (précédent record : 35,6°C le 26/06/1947)
  • Beauvais : 36,9°C (précédent record : 34,6°C le 26/06/1976)
  • Le Mans : 37,1°C (précédent record : 36,9°C le 30/06/1976)
  • Bourges : 38,0°C (précédent record : 36,3°C le 22/06/2003)
  • Bergerac : 38,2°C (précédent record : 38,1°C le 22/06/2003)
  • Vichy : 39,2°C (précédent record : 38,5°C le 22/06/2003)
Source: Météo France
Nature alerte

Les orages ont été a la hauteur des prévisions de Météogérard

alerte de météo france pour le 28/06/2011


Le Nord-Est de la France frappé par de très violents orages

De très violents orages accompagnés de sévères chutes de grêle, de pluies diluviennes et de rafales de vents très fortes ont provoqué d'importantes perturbations dans les départements du Nord, de l'Aisne, des Ardennes et de la Marne entraînant plusieurs centaines d’interventions des pompiers, des coupures d’électricité et des chutes d'arbres qui ont notamment bloqué un TGV.

Ardennes - La SNCF a dû acheminer par bus 70 passagers d'un TGV reliant Reims à Charleville-Mézières qui s'est retrouvé immobilisé à une vingtaine de kilomètres de sa destination en raison de la chute d'un arbre sur la voie. Les passagers sont arrivés avec environ trois heures de retard. L'incident a, par ailleurs, contraint la SNCF à acheminer par taxi 25 passagers de deux TER au départ et à l'arrivée de Charleville.

4900 foyers étaient privés d'électricité dans une partie du département, mais les équipes d'EDF étaient à pied d'oeuvre afin de rétablir le courant, selon le préfet, précisant qu'un "pic" de 8000 foyers sans électricité avait été atteint entre 20H30 et 21H00.

Les pompiers ont effectué 230 interventions: caves inondées, toitures endommagées ou chutes d'arbres sur des routes ou de petites coulées de boue. ".

Le Centre national de prévision indique que "des orages localement forts se produisent actuellement" sur la région de Champagne Ardennes (départements des Ardennes, de l'Aube, de la Marne et de la Haute-Marne) et sur la Meuse. Sur les six dernières heures, des rafales maximales de 142 km/h ont notamment été relevées à Charleville-Mézières, où 23,2 mm de pluies sont tombées en une heure.  


Marne - Dans la Marne,  les orages et les fortes pluies se sont concentrées sur l'agglomération de Reims.Les sapeurs-pompiers ont réalisé 350 interventions dans la nuit de mardi à mercredi pour des caves inondées, des toitures endommagées et des arbres couchés. À minuit, 2500 foyers étaient privés d'électricité toujours dans le même secteur.

À Prunay, un impressionnant épisode de grêle a fait des dégâts matériels. À Cormicy, une coulée de boue a provoqué de nombreux dégâts. D'après nos premières informations, les vignes seraient relativement épargnées.


Aisne - Le département n'était pas placé en vigilance orange mais les orages ont sévi très fort localement et ont concerné une grande partie de l'Aisne avec de fortes pluies, une intense activité électrique et des rafales localement fortes. Les sapeurs pompiers ont mis en place une cellule de crise afin de gérer l'afflux d'appels importants de sinistrés. Les orages ont débuté vers 21h30 sur le secteur de Neufchâtel, vers 22h 40 sur Saint-Quentin. Bilan à 23 h 30 : aucun blessé n'est à déplorer. Les pompiers toujours sur Neufchâtel étaient alors également sur Château-Thierry, Ressons-le-Long (Soissonnais) et un peu sur Chauny.

Assèchement des sols, mise en sécurité des différentes installations et aide à la population pour la mise hors de l'eau des meubles sont les principales tâches des secouristes. Quelques arbres sont aussi tombés sur la voie publique.


Nord - A Sars-Poteries et Beugnies, de nombreuses voitures ont subi les dommages de très fortes chutes de grêle dont les diamètre ont atteint les 3 cm. Les automobilistes circulant de Locquignol à Maroilles en passant par la forêt de Berlaimont ont dû, en raison des grêlons tombés du ciel, prendre leur mal en patience et stationner leur véhicule à l'abri en attendant que l'orage passe.  La grêle a causé d'important dégâts aux cultures dans le secteur de Dourlers

Dans le Denaisis quelques inondations ont été rapportées. A Lourches plusieurs rues situées en contrebas se sont transformées en un vaste étang.

Voici les cumuls de pluie les plus notables enregistrés sur l'ensemble de l'épisode orageux :
  • 70 mm à Charleville-Mézières (08), dont 23 mm en moins d'une heure ;
  • 56 mm à Noyers (89), dont 42 mm en moins d'une heure soit l'équivalent de deux semaines de pluie en cette saison ;
  • 54 mm à Launois-sur-Vence (08), dont 20 mm en une heure ;
  • 43 mm à Tonnerre-Jourdre (89) ;
  • 38 mm à Wignehies (59) ;
  • 33 mm à Saulces_Champenoises (08) ;
  • 26 mm à Reims.

On a également relevé de nombreuses violentes rafales de vent avec par exemple :
  • 144 km/h à Charleville-Mézières (08) ;
  • 95 km/h à Chouilly (51) ;
  • 90 km/h à Saulces_Champenoises (08) ;
  • 89 km/h à Saint-Hilaire-sur-Helpe (59) ;
  • 86 km/h à la station de Vatry-Aéro (51) ;
  • 85 km/h à Montbeugny (03)

Source : L'Union, La Voix du Nord, AFP, France 3
CATNAT 

Également la Belgique:

 Jodoigne durement touchée par les orages


© Unknown
Les averses orageuses ont causé de nombreux dégâts à Jodoigne, où les pompiers sont intervenus jusqu'à 4h30. Près de 3.500 voitures neuves ont été endommagées par la grêle chez Ford Genk. Un incendie a été déclenché par un éclair à la centrale électrique de Dilbeek.

La région hesbignonne a été durement touchée par les averses orageuses qui se sont abattues hier soir. A Jodoigne, les pompiers sont intervenus jusqu'à 4h30 cette nuit pour nettoyer la ville et aider les habitants à évacuer la boue qui a envahit les maisons. A Wasseiges, des torrents d'eau ont inondé le centre de la ville. Les pompiers sont intervenus pour des habitations inondées, des arbres et des câbles électriques arrachés.

Des grêlons de 3 centimètres de diamètre sont tombés sur la tête des étudiants de Louvain-la-Neuve, où les terrasses se sont vidées en un clin d'œil.

Les pompiers de Charleroi ont été appelés à de multiples reprises entre 19 et 22h00. La plupart des appels concernaient des chutes d'arbres, des branchages encombrant les routes ou des fils électriques tombés. C'était le cas notamment à Couillet, Loverval, Marchienne-au-Pont, indiquait-on auprès des pompiers.

Dans la région de Namur, les pompiers sont intervenus pour des caves inondées dans la zone d'Eghezée.

L'orage qui s'est battu mardi soir sur la Belgique a largement épargné la province de Liège. Le service 100 n'a reçu, entre mardi soir et mercredi matin, que quelques dizaines d'appels pour placer des bâches sur des toits dont une partie des tuiles s'était envolée, pour pomper l'eau dans des caves inondées et pour tronçonner des arbres tombés sur la chaussée.

Les intempéries n'ont finalement pas provoqué de problèmes majeurs mardi soir dans le Brabant flamand.

Dans la région d'Anvers, les pompiers se sont principalement déplacés pour des arbres arrachés et des échafaudages effondrés mais aussi pour des routes inondées.

Les averses orageuses, parfois accompagnées de grêle, ont mis fin à trois jours caniculaires. Les premiers coups de tonnerre ont retenti dès 17h30 dans la région de Tournai, avant de se propager dans l'ensemble du pays.

La centrale électrique de Dilbeek prend feu

Un transformateur de la centrale électrique de Dilbeek a pris feu vers 20h00 après avoir été touché par un éclair. Quelque 40.000 litres de fuel sont partis en fumée. Cela a provoqué un important dégagement de fumée, mais celle-ci n'était pas toxique. L'incendie est maîtrisé depuis 23h00 par les pompiers, qui vont rester sur place toute la nuit. Selon le bourgmestre de Dilbeek il est encore trop tôt pour mesurer les dégâts exacts mais ceux-ci devraient vraisemblablement être considérables. Personne n'a été blessé dans l'incendie.

Des voitures neuves endommagées par la grêle chez Ford Genk

La grêle a en effet endommagé de 3.000 à 3.500 voitures neuves qui étaient sur le point d'être expédiées. Les dégâts devront maintenant être réparés, ce qui signifie que les personnes qui devaient recevoir ces voitures devront attendre trois à quatre semaines pour être livrées.

La journée la plus chaude de l'année

La température a atteint 36,1 degrés à 16h30, mardi sur la base aérienne de Kleine-Brogel, dans le Limbourg. Il s'agit de la température la plus élevée enregistrée cette année en Belgique, a indiqué le météorologue Eddy De Mey. Le record de température de l'année dernière, soit 37,3 degrés, avait été enregistré le 2 juillet au même endroit.

Des routes se soulèvent en Wallonie
Plusieurs soulèvements de routes ont été recensés lundi et mardi, à la suite « d'une soudaine montée des températures », a indiqué Fabian Namur, porte-parole de la Sofico, la société wallonne de financement complémentaire des infrastructures.

Ces soulèvements ont été constatés entre autres sur la E411, à hauteur de Autelbas, sur l'A27 à hauteur de Saint-Vith-Nord et de Crombach, et sur l'E40 à hauteur de Crisnée en direction d'Aix-la-Chapelle.

Cependant, Fabian Namur s'est voulu rassurant, rappelant que depuis quelques années, les routes sont munies d'« un bitume plus dur qui résiste mieux aux grandes chaleurs et aux phénomènes d'orniérage ».

Ozone : le seuil européen déjà dépassé dans neuf endroits

Les premiers dépassements en concentration en ozone ont été constatés à 15 heures dans la province du Limbourg, à Dessel et Hasselt. A 17 heures, ces concentrations ont également dépassé le seuil européen à Bree, Gellik, Idegem, Aarschot, Schoten, Offagne et Habay-la-Neuve.

Le dépassement le plus important a été enregistré à Schoten avec, à 17 heures, 220 microgrammes/m3. Si les concentrations devaient excéder les 240 microgrammes/m3, le seuil d'alerte serait annoncé.

« Ce n'est pas exclu que ce seuil d'alerte soit dépassé, mais je crois que c'est peu probable », estime Frans Fierens, de la Cellule interrégionale de l'environnement (Celine).

Le seuil de concentration devrait diminuer dans les prochains jours, en même temps que les températures. 
SOTT.NET

POUR LA FIN DE SEMAINE: RETOUR A DES TEMPÉRATURES DE SAISON :D

2010, l'année la plus chaude depuis la fin du XIXe siècle


L'année 2010 a été la deuxième année la plus chaude depuis la fin du XIXe siècle, indique un rapport de l'agence américaine des océans et de l'atmosphère (NOAA) publié hier.
L’an passé, la température terrestre moyenne était d’environ 0,62°C supérieure à la moyenne de tout le XXe siècle. A ce titre, 2010 se place derrière 2005, en terme d’année la plus chaude relevées depuis 1880, date à laquelle les températures ont commencé à être recensées. Ce rapport annuel, réalisé par la NOAA en coordination avec la Société américaine de météorologie (AMS), rassemble l’ensemble des observations et des mesures faites par 368 scientifiques dans 45 pays.
Le rapport se base sur des données détaillées, mises à jour chaque année, ainsi que sur des évènements météorologiques majeurs, directement liés au climat. L'étude montre ainsi que les températures annuelles moyennes dans l'Arctique ont continué à monter environ deux fois plus vite que dans les latitudes plus basses. Par ailleurs, en 2010, la fonte des glaces, au Groenland, a été près de 8% plus importante que lors du précédent record datant de 2007.
"De multiples indicateurs conduisent à la même conclusion : depuis la plus haute couche de l'atmosphère jusqu'au fond des océans [...] le monde continue à se réchauffer", souligne la NOAA. Une analyse approfondie des indicateurs révèle la poursuite d'une tendance, depuis plus de cinquante ans, vers un changement climatique du globe, ajoutent les auteurs de l’étude.

Maxisciences

Les anti gaz de schiste préparent un rassemblement citoyen sur l'énergie

Manifestation anti-gaz de schiste, à Nant, le 17 avril 2011.
Manifestation anti-gaz de schiste, à Nant, le 17 avril 2011. DAMOURETTE/SIPA

ENERGIE - Du 26 au 28 août, les Cévennes accueilleront des débats citoyens sur l'avenir énergétique de la France...

Le collectif anti-gaz de schiste a encore de l’énergie. Malgré le vote de la loi, le 11 mai, interdisant la technique de la fracturation hydraulique, les opposants à l’exploitation des huiles et gaz de schiste restent mobilisés. Ils organisent, aux côtés de l’ONG Les amis de la Terre et d’organisations anti-nucléaire, un rassemblement citoyen du 26 au 28 août, dans les Cévennes. Ces «Etats généraux de nos besoins et de notre avenir énergétique» doivent aboutir à des propositions concrètes que les organisateurs espèrent pouvoir faire peser dans les débats pendant la campagne présidentielle.

Des représentants de plusieurs pays pour évoquer toutes les sources d’énergie

L’énergie nucléaire remise en cause par la catastrophe de Fukushima, les énergies fossiles, dont les gaz de schiste, dénoncées pour leur impact environnemental, les barrages hydroélectriques dévastateurs en Chine ou encore les agrocarburants qui prennent la place des cultures alimentaires… Les problèmes autour de l’approvisionnement en énergie se multiplient. Pour Sylvain Angerand, des Amis de la Terre, il est nécessaire d’ouvrir un débat large entre les citoyens. «Nous avons beaucoup de propositions pour définir un avenir énergétique plus sobre et plus durable, explique-t-il à 20 Minutes. Nous allons croiser les scénarios de sortie des énergies fossiles avec ceux de sortie du nucléaire.»
Des représentants de plusieurs pays seront présents, pour évoquer les problèmes propres à chaque type d’énergie: «Nous voulons faire un débat international, avec des Américains confrontés aux gaz de schiste, des Canadiens qui parleront des sables bitumineux, des Japonais qui ont vécu Fukushima, des gens d’Asie, d’Amérique latine…», énumère Sylvain Angerand.

Confronter les politiques aux propositions qui sortiront des débats

En France, la table ronde initiée par le gouvernement au lendemain de Fukushima n’a pas convaincu les militants associatifs. «Le rassemblement d’août sera le débat que nous n’arrivons pas à avoir avec le gouvernement. Nous avons refusé de participer à la table ronde énergétique car il y a trop de tabous, regrette Sylvain Angerand. Après Fukushima, il est irréaliste d’éluder la question du nucléaire.»
La ministre de l’Ecologie, Nathalie Kosciusko-Morizet, sera conviée à participer aux débats de fin août. Un timing stratégique pour inclure la question énergétique dans la campagne pour l’élection présidentielle de 2012: «Nous ne voulons pas que ce rassemblement soit instrumentalisé par les partis politiques, nous ne les inviterons pas, insiste Sylvain Angerand. Mais nous formulerons des propositions auxquelles nous confronterons ensuite les politiques.»
Audrey Chauvet 
 

Mobilisons nous!!! C'est notre futur et celui de nos enfants qui est en jeu ;)

mardi 28 juin 2011

Changement géologique majeur dans le Pacifique?

26 juin 2011 - Sommes-nous sur le point d'un événement dans le Pacifique Sud? Nous avons vu un nombre impressionnant de signes dans les derniers jours indiquant un changement majeur.  La plaque indo-australienne est une plaque tectonique majeure qui inclut le continent de l'Australie et l'océan environnant, et s'étend au nord-ouest pour inclure le sous-continent indien et les eaux adjacentes.  
Des études récentes suggèrent que la plaque indo-australienne peut être dans le processus de rupture en deux plaques séparées en raison principalement de contraintes induites par la collision entre la plaque indo-australienne avec l'Eurasia le long de l'Himalaya qui pousse la chaîne de montagnes en place. Les deux embases sont généralement dénommées la plaque indienne et la plaque australienne.  Nous avons raison de croire que nous voyons maintenant plus de preuves de cela et que nous pourrions être à la veille d'être témoin de changements terrestres majeurs à la terre des masses dans le Pacifique Sud.  La récente série d'événements dans les dernières 24 heures indique la nature des processus géologiques qui rapidement peut-être déjà déroulement qui pourrait changer la face de l'éternité du Pacifique Sud.
  Les tremblements de terre 5,5 et 4,7 qui se sont produits hier ne sont que deux de plus dans une ligne linéaire des tremblements de terre près de la région païenne des îles Mariannes du Nord le long de la limite de plaque océanique du Pacifique.  Quatre séismes ont éclaté le long de la frontière dans les sept derniers jours. Nous voyons aussi les tensions sismiques sur la région nord de la Papouasie en Indonésie. Ce n'est pas une région volcanique-actif, mais un spasme des tremblements de terre ont éclaté ici, après la région a été frappée par un tremblement de terre d'une ampleur de 6,4,  à une profondeur de 20,6 km.  La profondeur de gamme des huit répliques qui ont suivi le séisme principal indiquait que les tremblements se rapprochaient de la surface et une des répliques montre une faible profondeur de seulement 9,4 km.  Est-ce la contrainte de traction sur la masse terrestre?  Les fissures terrestres ont éclaté dans la région du nord de l'Inde dans les derniers jours, il y ont été inexpliquée. Le niveau de la mer s'élève près de la côte du Pakistan et une vague de tremblements de terre au cours des derniers jours dans la région de désert de l'ouest de la Chine (Xizang et W . Sichuan), juste au nord de l'Himalaya. . Le 25 Juin, il y avait deux séismes modérés, un 5.1 et un 5.2, le long de la dorsale médio-indienne de la tension sur la plaque indo-australienne à l'ouest. Un séisme de 5,4 a frappé le nord du Queensland, le 16 avril et un 100 mètres de large section de la plage est tombé dans le Pacifique avant hier. Lorsque nous ajoutons les milliers de séismes tectoniques qui ont frappé Christchurch en Nouvelle-Zélande, le long de la frontière  de la Faille Alpine, et l'activité sismique dans l'escalade des Arcs Tonga-Kermadec. Nous pouvons construire un argument convaincant circonstancielle que la transformation géologique majeure dans cette région du monde semble s'accélérer.  
Le protocole d'extinction
Désolée pour la traduction google

La Chine dans une situation paradoxale, du trop au pas assez d'eau

le niveau d'eau d'un lac majeur a dépassé le niveau d'alerte Les pluies torrentielles qui se sont abattues le long du fleuve Yangtsé ces derniers jours ont fait monter le niveau d'eau du lac Taihu, le deuxième plus grand lac d'eau douce de Chine, au-dessus du niveau d'alerte, a annoncé dimanche 26 juin le Comité national de lutte contre les inondations et la sécheresse. Dimanche à 10H00, le niveau d'eau moyen du lac Taihu s'est établi à 3,84 mètres, soit 34 cm au-dessus du niveau qui pourrait déclencher une alerte de contrôle des inondations autour du lac. La situation s'est améliorée dimanche après-midi, après que le niveau d'eau a atteint 3,9 m, le plus haut niveau de cette année, et a commencé ensuite à baisser. Pourtant, le niveau d'eau des rivières et des lacs à proximité de Taihu, selon 13 stations d'observation, restent encore au-dessus du niveau d'alerte. Les inondations ont fait 94 morts, 78 disparus et ont forcé l'évacuation de milliers d'habitants dans 13 provinces depuis le début de la saison des pluies cette année. Source: xinhua 

Les autorités ont procédé au déversement du réservoir de Xin'anjiang

Une opération de déversement a eu lieu sur le plus gros réservoir de l'Est de la Chine afin d'empêcher qu'il ne déborde. En raison des fortes averses du début du mois, le niveau du réservoir était critique, et les autorités ont dû procéder à un déversement. Le réservoir de Xin'anjiang est construit sur les hauteurs de la rivière Qiantang, la plus longue rivière de la province du Zhejiang. Plus d'une trentaine d'heures après le début des opérations, le niveau d'eau du réservoir est revenu à la normale.

10 mille tonnes d'eau ont jailli du réservoir. Selon les opérateurs, cette scène magnifique ne peut être vue qu'une fois tous les 10 ans. Seules 3 des 9 vannes ont été ouvertes, afin d'éviter que le courant en aval ne soit trop fort.

Hu Yaowen

Chef adjoint

Centre de contrôle des inondations du Zhejiang

"On estime que le courant d'eau en aval pourrait passer à 8000 mètres cubes par seconde, ce n'est même pas la moitié du dernier déversement d'il y a 12 ans. Le niveau de l'eau en aval ne s'élèvera que de 2 mètres, mais la rivière se calmera après que le pic sera dépassé."

La plupart des habitants vivant en aval, ont été évacués avant le déversement. Cependant, de faibles dégâts n'ont pu être évités.

Plus de 50 hectares de cultures ont ainsi été inondés et des dizaines d'usines ont dû être fermées.


Passage de la tempête tropicale Meari 164 000 personnes ont été affectées, a déclaré lundi le ministère des Affaires civiles.
Des vents violents et des averses, suite au passage de la tempête tropicale Meari, ont provoqué des inondations dans 17 districts de trois provinces sur la côte est du pays depuis samedi et 164 000 personnes ont été affectées, a déclaré lundi le ministère des Affaires civiles.
Lundi à 15h00, les inondations provoquées par Meari dans les provinces du Liaoning, du Zhejiang et du Shandong ont obligé l'évacuation de 7 500 personnes, endommagé 33 000 hectares de terres cultivées et détruit 400 maisons.
Les pertes économiques directes suite à ces catastrophes naturelles dans les trois provinces ont été estimées à environ 200 millions de yuans (environ 30,89 millions de dollars).
Le ministère a exhorté les autorités locales à surveiller étroitement la tempête tropicale et à renforcer les efforts dans les rapports d'informations des catastrophes et dans les secours.
Selon les prévisions de lundi, le Shandong et le Liaoning ne verront pas de pluies torrentielles ces 24 prochaines heures car Meari se déplace vers la péninsule de Corée.

la tempête tropicale Haima a affecté quelque 5 100 personnes et forcé 800 d'entre eux à évacuer

De fortes précipitations apportées par la tempête tropicale Haima, qui a atteint jeudi matin la côte de la province du Guangdong (sud), ont affecté quelque 5 100 personnes et forcé 800 d'entre eux à évacuer, a indiqué vendredi le ministère des Affaires civiles.
Des inondations provoquées par les fortes précipitations dans les villes de Zhuhai, Yunfu, Zhaoqing et Yangjiang ont, au jour de vendredi 15H00, submergé 600 hectares de terre agricole et détruit 139 habitations, a précisé le ministère dans un communiqué, citant les rapports de l'agence locale des Affaires civiles.



Dans le même temps l'alerte d'urgence à la sécheresse a été déclenché dans certaines régions chinoises


Le Comité National pour la réduction des catastrophes naturelles et le Ministère des Affaires Civiles ont déclenché une alerte d'urgence à la sécheresse de niveau 4 dans plusieurs régions. Sont notamment concernées le centre et l'ouest de la Région autonome de la Mongolie intérieure, le centre et l'est de la province du Gansu, le sud de la Région autonome hui de Ningxia. Des groupes de travail ont été mobilisés dans les régions les plus touchées et des opérations de secours aux sinistrés engagées.

D'après un rapport publié par les gouvernements de ces 3 régions, la vague de sécheresse, qui a débuté en mars, avait affecté jeudi 23 juin, 11,67 millions d'habitants, 3,62 millions de bétail et 2,395 millions d'hectares de plantes agricoles, entièrement dévastées. 


DROUGHT PERSISTS IN NW CHINA par tvnportal

Corée du sud, le typhon Meari fait au moins neuf morts

Neuf personnes ont trouvé la mort et trois autres ont été portées disparues en Corée du Sud lundi après le passage du typhon Meari. Celui-ci a balayé la côte ouest du pays au cours du week-end, a-t-on appris lundi auprès des secours.

Le cyclone doit atteindre la Corée du Nord lundi matin et l'agence de presse officielle KCNA a diffusé des alertes. Meari fait près de 30 morts ou disparus la semaine dernière aux Philippines et au Vietnam.


aux Philippines

Près de 50.000 personnes ont dû être évacuées en raison des inondations provoquées par les pluies torrentielles qui se sont abattues sur les Philippines lors du passage de la tempête tropicale Meari, vendredi dernier a annoncé la sécurité civile.

Dans la capitale Manille, plus de 3.200 personnes ont quitté leur maison dans la nuit alors que de nombreuses rues étaient totalement inondées.


Thousands Flee Philippine Floods par NewsLook

Nature alerte