dimanche 26 juin 2011

Soleil et climat ou les limites scientifiques face à la mafia financière


Image SDO actuelle du soleil

Ces dernières années, j'ai lu à maintes reprises que le Soleil n'influait que peu sur le climat terrestre. Dans n'importe quel torchon appuyant le "réchauffement par le CO2", certes, mais aussi dans des revues de vulgarisation scientifique.


 
Je me suis toujours demandé comment des gens ayant fait des études, car c'est le cas de ces journalistes, pouvaient écrire de telles énormités. Je me le demande toujours.
 
L'intégrité est-il un terme encore connu en 2011? J'en doute.
 
Si le Soleil, étoile centrale de notre système solaire, influence peu le climat terrestre, alors quoi? Nous sommes revenus aux pires heures obscures où les dogmes, aussi imbéciles que prétentieux, remplacent la raison.
 
Mais tout cela n'est pas si imbécile que cela, les milliards détournés sur les crédits carbones en sont un exemple, parmi beaucoup d'autres... Le réchauffement dû au CO2 a permis à bien des gens de s'en mettre plein les poches, avec un détournement et une collaboration scientifique digne des pires heures de l'Histoire religieuse. Lorsqu'on sort d'un dogme, disait mon grand-père, c'est toujours pour tomber dans un autre...
 
Le passé, pourtant, est très clair. D'accord, les scientifiques collabos diront que les données précises manquent et que c'est difficile de...
La climatologie est une science balbutiante, je l'accorde, mais lorsque des évidences pareilles sont affichées par l'Histoire, je pense que se corrompre ainsi enlève toute crédibilité à ce milieu. Fukushima fera le reste...
 
Attention, il y a et restera des scientifiques intègres, Dieu merci. Je salue leur courage au passage, ceux qui ont su se garder d'entrer dans cette massive propagande du Co2.
 
Mais venons en aux faits.
 
Il y a deux minimums solaires connus de façon certaine à ce jour, et un troisième par des voies détournées ( carottage de glace et dendrochronologie ).
 
Le minimum de Maunder (1645-1715)
 
Le minimum de Dalton (1790-1830)
 
Le minimum de Spörer ( 1420-1570)
 
Pour les deux premiers, voici l'activité solaire en graphique :
 


 
Il y a une constante dans ces minimums, c'est l'abaissement notable des températures globales, au moins en Europe et en Amérique du Nord, où les données sont disponibles.
 
Cela engendre des hivers très rudes ( pour le minimum de Maunder, les rivières étaient gelées l'hiver, la température avoisinait les -40°C dans le centre de la France )
 
Cela se voit très bien dans la courbe des températures depuis 1000 ans :
 
La courbe rouge est celle des température, la bleue la constante solaire. Les trois fois où la courbe rouge danse avec les -0,4°C, ce sont lors des trois minimums répertoriés.


  Nous sommes là devant une évidence mais certains voudraient nous faire croire que ce qui fonctionne dans un sens ( le minimum solaire engendre une baisse des températures ) ne fonctionne pas dans l'autre ( l'activité importante du Soleil engendre un réchauffement ).
 
Hors, nous pouvons très bien voir sur le premier tableau que depuis 1940, nous vivons une période d'intense activité solaire, comme jamais recensée depuis le début des mesures.
 
Je passe sur les nombreuses études qui corroborent ces faits historiques. Vous les trouverez toutes sur ce très bon site, scientifique, lui, dans le noble sens du terme.
 
Et, cerise sur le gâteau, le Soleil va, selon toute vraisemblance, entrer dans un de ses minimums dont il a le secret. Nous aurons donc la chance, pour les plus jeunes d'entre nous, de voir les effets du sommeil solaire. Préparez vos couvertures...
 
Nous en avons déjà un avant goût, depuis 4 ans, avec le retour massif de la neige dans le Massif Central, comme jamais vu depuis 40 ans au moins.
 
Ce n'est que le hors d'oeuvre solaire.

Suivi soleil 

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