Ce qui devrait nous inquiéter, n’est apparemment pas trop inquiétant, puisqu’on préfère ne nous donner que le résultât des sondages pour la présidence. Si la situation déjà critique de Fukushima devait évoluer dans le mauvais sens, nous aurons d’autres soucis autrement plus graves, que de savoir qui va nous envoyer droit dans le mur…
Les nouvelles de Fukushima , c’est comme notre Président de la République elles sont invisibles ( lui c’est sûr il n’a jamais mis les pieds sur place ).
Alors résumons la situation en ce dimanche 15 Avril .
a) La centrale de Fukusima toujours régulièrement frappées par des séismes.
b) Nous ne savons pas précisément où se situent les coriums plus d’un an après la catastrophe.
c) Le château de carte que constitue le bâtiment du réacteur N°4 qui contient 135 tonnes de combustible dans sa piscine de stockage , considérablement affaibli par les explosions pourrait contaminer tout l’hémisphère nord et s’il venait à s’effondrer. Dans ce cas il ne serait plus possible d’intervenir sur le site à cause d’une trop grande radioactivité, ce qui provoquerait l’abandon des systèmes de refroidissement des autres structures (cœurs et piscines). Compte tenu du nombre important de séismes observés ces derniers temps cette hypothèse n’est pas farfelue .
d) Il en est de même pour l’autre château de carte que constitue le bâtiment réacteur N°3 (chargé au MOX) ne va pas mieux que son cousin, Tepco vient de découvrir que la machine de chargement déchargement du combustible de 35 tonnes avait fait un plongeon dans la piscine à combustible rendant très difficile le retrait ultérieur de ce denier.
e) En résumé à Fukushima nous avons 3 réacteurs les tripes à l’air depuis plus d’un an (un a été recouvert avec une tente ) , qui subissent chaque semaine des séismes , et qui rejettent dans l’atmosphère et dans l’océan des particules radioactives.
f) Enfin au Japon contaminé les populations son invitées à faire comme si de rien n’était , et à vaquer à leur occupations quotidiennes ,alors que de nombreux signalement indiquent que beaucoup commencent à être malade. Et nombreux également sont ceux qui se révoltent contre cet état de fait .
g) L’entreprise privée à l’origine de ce désastre fait appel à l’Etat (sous le bon vieux principe de privatiser les bénéfices et de nationaliser les pertes ) pour financer la réparation des dommages .
Voilà la réalité de Fukushima !
Source Scoop.it
Via Realinfos via l’Eveil2011
VOIR AUSSI:
Ce sont plus de 6 séismes qui ont frappés le Japon ces sept dernier jours, dont un lundi d'une magnitude 4.6 au large de Fukushima. Dans le cas ou le bassin de stockage de combustible du réacteur N°4 considérablent affaibli par les explosions viendrait à s'effondrer, tout l’hémisphère nord serait durablement contaminé, car il ne serait plus possible d’intervenir sur le site à cause d’une trop grande radioactivité, ce qui provoquerait l’abandon des systèmes de refroidissement des autres structures (cœurs et piscines), l’ensemble représentant plus de 2400 tonnes de combustible.
liens vers la carte des séismes : http://www.japanquakemap.com/week ;
Fukushima c'est actuellement 4 réacteurs hors confinement , dont 3 avec la fusion complète ou partielle des coeurs !
Mais tout va bien les cerisiers sont en fleurs, et les compteurs geigers crépitent de joie à Tokyo.
liens vers la carte des séismes : http://www.japanquakemap.com/week ;
Fukushima c'est actuellement 4 réacteurs hors confinement , dont 3 avec la fusion complète ou partielle des coeurs !
Mais tout va bien les cerisiers sont en fleurs, et les compteurs geigers crépitent de joie à Tokyo.
Source: Les moutons enragés
Etendue des dégâts à Fukushima
L'opérateur de la centrale nucléaire accidentée de Fukushima (nord-est du Japon) a diffusé de nouvelles images révélant l'étendue des dégâts dans une piscine de stockage du combustible usagé du réacteur 3, l'un des trois les plus critiques.
Un photo montre une grue de 35 tonnes, servant à plonger ou retirer les barres de combustible de l'eau de refroidissement, tombée dans la piscine vraisemblablement après une explosion d'hydrogène trois jours après le séisme et le tsunami du 11 mars 2011.
Déclenché par le séisme et le tsunami du 11 mars 2011, l'accident de la centrale Fukushima Daiichi a constitué le pire désastre nucléaire depuis celui de Tchernobyl (Ukraine), en 1986. Dans les jours suivant le séisme, du fait d'absence d'électricité et de systèmes de refroidissement, le combustible a partiellement fondu dans les réacteurs 1 à 3, entraînant des explosions d'hydrogène et des rejets massifs d'éléments radioactifs dans l'environnement.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire