Plus
de 300 personnes ont été évacuées près de Riazan en raison de crues
sans précédent depuis près d'un siècle dans cette région située au
sud-est de Moscou, a rapporté mardi un photographe de l'AFP.
Les eaux de la rivière Mokcha, au bord de laquelle se trouve le bourg de Kadom, à 250 km au nord-est de Riazan, ont envahi mardi 1.148 habitations, selon un communiqué de l'antenne locale du ministère russe des Situations d'urgence.
Près de 500 sauveteurs ont été mobilisés pour venir au secours des 8.500 habitants de cette localité, selon la même source.
La plupart des habitants ont refusé de se faire évacuer, selon le communiqué.
Certains quartiers sont entièrement inondés et les habitants ne s'y déplacent qu'en canots ou à cheval, a constaté le photographe de l'AFP.
Les secouristes et les habitants ont renforcé les berges de la Mokcha sur 5 km avec du béton et des sacs remplis de sable.
Des plate-formes en bois ont été érigées pour le bétail.
L'hiver neigeux et un redoux tardif mais brutal ont provoqué des crues sans précédent depuis 1923 dans cette région, selon les habitants.
Source ©AFP
Les eaux de la rivière Mokcha, au bord de laquelle se trouve le bourg de Kadom, à 250 km au nord-est de Riazan, ont envahi mardi 1.148 habitations, selon un communiqué de l'antenne locale du ministère russe des Situations d'urgence.
Près de 500 sauveteurs ont été mobilisés pour venir au secours des 8.500 habitants de cette localité, selon la même source.
La plupart des habitants ont refusé de se faire évacuer, selon le communiqué.
Certains quartiers sont entièrement inondés et les habitants ne s'y déplacent qu'en canots ou à cheval, a constaté le photographe de l'AFP.
Les secouristes et les habitants ont renforcé les berges de la Mokcha sur 5 km avec du béton et des sacs remplis de sable.
Des plate-formes en bois ont été érigées pour le bétail.
L'hiver neigeux et un redoux tardif mais brutal ont provoqué des crues sans précédent depuis 1923 dans cette région, selon les habitants.
Source ©AFP
Le 4 avril 2012, le niveau du fleuve Amazone dans sa partie amont
au Pérou a dépassé son record historique, atteignant 1118,62 m dans la
ville d’Iquitos, en aval de la confluence de ses deux principaux
affluents, l’Ucayali et le Marañón.
Depuis le début de l’année, le fleuve Amazone présente des hauteurs d’eau très élevées.
En janvier, le niveau de la rivière était déjà deux mètres
au-dessus de la valeur habituelle à cette date, et le niveau atteint au
début du mois d’avril est le plus élevé jamais enregistré, soit depuis
42 ans.
Par ailleurs, le fleuve atteint habituellement son niveau le plus élevé au début du mois de mai, ce qui laisse penser que les hauteurs d’eau vont certainement encore augmenter.
Nature alerte
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