(NaturalNews) Ici sur NaturalNews, nous
parlons habituellement d'événements terrestres, mais actuellement
certains événements plutôt impressionnants se passent dans notre
système solaire que vous êtes autorisés à connaître.
Regardez ce que la sonde Cassini de la
NASA a remarqué pour la première fois en 2007. Il existe un grand
hexagone en rotation entourant le pôle nord de Saturne.
Ce n'est pas une théorie de la
conspiration. C'est une sorte d'interprétation exagérée d'une
structure organique aléatoire. C'est très clairement un énorme
hexagone, et il encercle le pôle nord de Saturne. Et par "énorme",
je veux dire que cet hexagone est plus grand que la Terre.
Extrait du site de la NASA : "C'est une figure très étrange, qui s'étend d'une manière géométrique précise avec six côtés réguliers presque égaux", a dit Kevin Baines, expert en atmosphère et membre de l'équipe spectrométrique de la NASA à Pasadena en Californie. "Nous n'avons jamais vu quelque chose de ce genre sur une autre planète. En effet, l'atmosphère épaisse de Saturne où des ondes de forme circulaire et des cellules de convection dominent est peut-être le dernier endroit pour s'attendre à voir une telle figure géométrique à six côtés, pourtant elle est bien là".
L'hexagone, selon la NASA, fait 97 km d'épaisseur et une époustouflante largeur de plus de 24.000 km.
Ce qui veut dire que quatre Terres pourraient y prendre place. Oui, c'est vraiment si gros. Et bien sûr, cela semble entièrement artificiel. Les nuages ne prennent pas la forme d'un hexagone en gardant ensuite ces structures avec les bords qui orbitent autour du centre. En regardant cette formation, il est difficile de l'expliquer comme "naturelle".
Mais il y a autre chose à voir.
Extrait du site de la NASA : "C'est une figure très étrange, qui s'étend d'une manière géométrique précise avec six côtés réguliers presque égaux", a dit Kevin Baines, expert en atmosphère et membre de l'équipe spectrométrique de la NASA à Pasadena en Californie. "Nous n'avons jamais vu quelque chose de ce genre sur une autre planète. En effet, l'atmosphère épaisse de Saturne où des ondes de forme circulaire et des cellules de convection dominent est peut-être le dernier endroit pour s'attendre à voir une telle figure géométrique à six côtés, pourtant elle est bien là".
L'hexagone, selon la NASA, fait 97 km d'épaisseur et une époustouflante largeur de plus de 24.000 km.
Ce qui veut dire que quatre Terres pourraient y prendre place. Oui, c'est vraiment si gros. Et bien sûr, cela semble entièrement artificiel. Les nuages ne prennent pas la forme d'un hexagone en gardant ensuite ces structures avec les bords qui orbitent autour du centre. En regardant cette formation, il est difficile de l'expliquer comme "naturelle".
Mais il y a autre chose à voir.
Télescope spatial IRIS : premières images de la basse atmosphère du Soleil
La NASA dévoile les premières images du Soleil transmises par le télescope spatial IRIS. La mission de deux ans minimum doit explorer les couches basses de son atmosphère.
Le
télescope spatial IRIS de la NASA a été lancé il y a un mois et placé
sur orbite autour du Soleil pour une mission d'au moins deux ans.
L'Interface Region Imaging Spectrograph doit aider à percer les mystères
des couches basses de l'atmosphère de l'étoile du Système solaire.
Elles sont situées entre la surface du Soleil et la couronne solaire.
IRIS est la combinaison d'un télescope ultraviolet et d'un spectrographe. Il a été conçu pour capturer des images en haute résolution à très court intervalle de seulement quelques secondes. Il peut se concentrer sur des zones d'une dimension de 240 km. Le diamètre moyen du Soleil avoisine 1,4 million de kilomètres !
Le spectrographe à bord analyse la lumière du Soleil, la divise en plusieurs longueurs d'onde et procède à des mesures. L'observation a débuté pour la première fois le 17 juillet et la NASA vient de dévoiler les premières images rapportées par IRIS.
Selon la NASA, la qualité des images et des spectres reçus d'IRIS est " étonnante ". Les images montrent des " détails sans précédent " d'une région qui avait été jusqu'alors peu observée. Elles dévoilent une multitude de structures fines, " comme des fibrilles ", qui révèlent " d'énormes contrastes de densité et de température ".
La NASA ajoute que ces premières images fournissent des indices sur la manière dont l'énergie est transportée et absorbée dans cette région du Soleil encore méconnue. Sur les images, des taches s'illuminent rapidement et s'obscurcissent.
Les scientifiques espèrent pouvoir mieux comprendre la basse atmosphère du Soleil et notamment la formation et la prévision des tempêtes solaires qui peuvent avoir une incidence sur le bon fonctionnement des réseaux électriques et de communications sur Terre.
Source
suivi soleil
IRIS est la combinaison d'un télescope ultraviolet et d'un spectrographe. Il a été conçu pour capturer des images en haute résolution à très court intervalle de seulement quelques secondes. Il peut se concentrer sur des zones d'une dimension de 240 km. Le diamètre moyen du Soleil avoisine 1,4 million de kilomètres !
Le spectrographe à bord analyse la lumière du Soleil, la divise en plusieurs longueurs d'onde et procède à des mesures. L'observation a débuté pour la première fois le 17 juillet et la NASA vient de dévoiler les premières images rapportées par IRIS.
Selon la NASA, la qualité des images et des spectres reçus d'IRIS est " étonnante ". Les images montrent des " détails sans précédent " d'une région qui avait été jusqu'alors peu observée. Elles dévoilent une multitude de structures fines, " comme des fibrilles ", qui révèlent " d'énormes contrastes de densité et de température ".
La NASA ajoute que ces premières images fournissent des indices sur la manière dont l'énergie est transportée et absorbée dans cette région du Soleil encore méconnue. Sur les images, des taches s'illuminent rapidement et s'obscurcissent.
Les scientifiques espèrent pouvoir mieux comprendre la basse atmosphère du Soleil et notamment la formation et la prévision des tempêtes solaires qui peuvent avoir une incidence sur le bon fonctionnement des réseaux électriques et de communications sur Terre.
Ci-dessous,
les deux taches solaires observées dans une zone large par le satellite
Solar Dynamics Observatory de la NASA (à gauche) et par IRIS (à droite)
qui joue en quelque sorte le rôle de microscope :
L'image
montre du silicium ionisé dans une zone de transition à une température
de près de 64 000 °C et un continuum ultraviolet émis par la
chromosphère - la basse atmosphère du Soleil - à la température de
l'ordre de 9 000 °C. Les points lumineux avec une intense émission de
silicium ionisé ont une courte durée de vie. Le rôle de tels événements
dans le réchauffement de l'atmosphère solaire demeure une énigme à
élucider.Source
suivi soleil
http://nsa34.casimages.com/img/2013/12/27/131227112444488129.png
RépondreSupprimerhttp://nsa33.casimages.com/img/2013/12/22/131222102907484585.png
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