Les scientifiques sont très surpris de constater que le soleil se soit levé deux jours plus tôt que d'habitude. Cela suggère a priori que le changement climatique s'accélère. D'après les experts, le soleil aurait dû se lever le 13 janvier dans la contrée, achevant ainsi une « nuit » d'un mois et demi (hiver), mais il a eu 48 heures d'avance. On pense donc que la fonte des calottes polaires aurait permis au soleil de se lever plus tôt.
Comme la glace fond, l'horizon se retrouve plus bas ! Cela créé l'illusion que le soleil arrive plus tôt. D'autres études climatiques semblent en effet avoir démontré que l'épaisseur de la glace s'est réduite. Ainsi, les températures ont été plus élevées de trois degrés en moyenne l'année dernière. Décembre a été bien plus chaud que la normale, avec des chutes de pluie au lieu de neige.
Comme la glace fond, l'horizon se retrouve plus bas ! Cela créé l'illusion que le soleil arrive plus tôt. D'autres études climatiques semblent en effet avoir démontré que l'épaisseur de la glace s'est réduite. Ainsi, les températures ont été plus élevées de trois degrés en moyenne l'année dernière. Décembre a été bien plus chaud que la normale, avec des chutes de pluie au lieu de neige.
BULLETIN TECHNIQUE EUROPE POUR LA PÉRIODE DU MARDI 8 AU VENDREDI 11 FEVRIER 2011
Si la synoptique que nous vivons actuellement s'était produite en plein été, c'était assurément une belle canicule que le Sud-ouest de l'Europe aurait vécu et la France incluse.
Et pour cause, le lit perturbé Atlantique butte sur une vaste zone de hautes pressions. Le couvercle de hauts géopotentiels en forme d'oméga s'étendant du Maroc au Sud de la France en passant par le bassin occidental de la méditerranée est tout à fait typique des chaudes journées d'été. D'ailleurs, les températures à 850 hPa (1500m d'altitude) sont plus chaudes sur le Sud de la France que dans le Nord du Sahara où l'anomalie thermique atteint +8 à +12°C du Nord au Sud de la France. C'est dire de la masse d'air qui surplombe notre pays. Malgré tout nous sommes en hiver et en hiver le soleil n'est pas assez haut pour chauffer nos terres comme il pourrait le faire dans la belle saison. Les nuages bas et brouillards s'éternisent et les températures froides du matin ne parviennent à monter qu'en cas de dissipation de l'inversion thermique. A l'inverse, le thermomètre explose au delà des 10°C en montagne. Il fait 13°C à l'heure de la rédaction de ce bulletin à 2000 mètres dans les Pyrénées, et près de 20°C à 1000 mètres. On retrouve la même situation sur les Alpes.
Et pour cause, le lit perturbé Atlantique butte sur une vaste zone de hautes pressions. Le couvercle de hauts géopotentiels en forme d'oméga s'étendant du Maroc au Sud de la France en passant par le bassin occidental de la méditerranée est tout à fait typique des chaudes journées d'été. D'ailleurs, les températures à 850 hPa (1500m d'altitude) sont plus chaudes sur le Sud de la France que dans le Nord du Sahara où l'anomalie thermique atteint +8 à +12°C du Nord au Sud de la France. C'est dire de la masse d'air qui surplombe notre pays. Malgré tout nous sommes en hiver et en hiver le soleil n'est pas assez haut pour chauffer nos terres comme il pourrait le faire dans la belle saison. Les nuages bas et brouillards s'éternisent et les températures froides du matin ne parviennent à monter qu'en cas de dissipation de l'inversion thermique. A l'inverse, le thermomètre explose au delà des 10°C en montagne. Il fait 13°C à l'heure de la rédaction de ce bulletin à 2000 mètres dans les Pyrénées, et près de 20°C à 1000 mètres. On retrouve la même situation sur les Alpes.
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Aucun véritable refroidissement n'est prévu avant au moins 7 jours. A l'inverse, le flux de Sud-ouest pourrait se dynamiser davantage dans la semaine si bien que l'air printanier et sec concernera toutes nos régions.
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