Dans une étude récente concernant les cycles solaires, des scientifiques Russes prédisent désormais cent ans de refroidissement climatique dus à l'activité solaire et ses conséquences sur d'autres phénomènes naturels.
Cette prévision provient de l'astrophysicien du Dr. Habibullo Ismailovich Abdussamatov, directeur du laboratoire de recherche spatiale de l'observatoire Pulkovo de l'Académie russe des sciences, les scientifiques ont commencé par étudier un document publié par le juge Eddy en 1976 qui démontrait la corrélation entre l'activité solaire et les grands changements climatique sur terre qui ont perturbé le train de vie des différentes civilisations au cours du temps de par des crises économiques et démographiques.
En menant des recherches similaire de Eddy, le scientifique Russe Eugène Borisenkov a découvert un cycle d'environ 200 ans de refroidissement climatique durant les 7500 dernières années qui est aussi corrélé au minimum de Maunder (Abdussamatov souligne que ce sont des moments où toute activité industrielle était inexistante.)
Les scientifiques ont découvert que notre planète se réchauffe et se refroidit de manière prévisible tous les 200 ans à cause de variations dans la luminosité du soleil. Les précédents réchauffements globaux ont toujours étaient suivis d'un refroidissement profond. Abdussamatov affirme que les variations des tâches solaire dans les cycles de 200 ans ainsi que les variations de l'irradiance solaire (TSI) sont les phénomènes qui dominent les changements climatique. "Dans l'ensemble, les variations solaires sont la clé de la compréhension des différentes variations cycliques de la nature et de la société."
L'évènement le plus notable de la vie au vingtième siècle fut l'activité solaire qui a été d'un niveau élevé et irrégulier d'une croissance séculaire du flux de rayonnement solaire (TSI). Une augmentation similaire du flux du rayonnement solaire comme dans le vingtième siècle n'avait pas été observée depuis plus de 700 ans. Toutefois, son effet sur "le réchauffement planétaire" ne constitue pas une anomalie, mais un événement régulier et naturel de la Terre. Le climat de la Terre a toujours été changeant et cyclique et notre planète a déjà connu plusieurs réchauffements globaux semblable à celui que nous observons. Les réchauffements globaux ont toujours été suivis par des refroidissements profonds et réguliers tous les 2 siècles. Le réchauffement global observé entre le sixième et le huitième siècle résultant d'une augmentation à long terme de l'activité des tâches solaires et de l'irradiance, est appelé «un petit optimum climatique». Celui ci est similaire au réchauffement mondial observé actuellement, ces derniers ont causé de graves changements climatiques. Les vignes ont été cultivées au Moyen-âge en Ecosse, le Groenland a justifié son nom et a été habitée par les Normands à la fin du dixième siècle. L'Europe a connu une croissance économique qui a donné naissance à la Renaissance, l'Asie Centrale a traversé la meilleure période de son histoire.
La dernière diminution globale de la température (la phase la plus froide du petit âge glaciaire) a été observée non seulement en Europe, en Amérique du Nord et au Groenland, mais aussi partout ailleurs autour du globe, pendant le minimum de Maunder avec la faible activité des tâches solaires et de l'énergie de l'irradiance solaire total des années 1645-1715 ans, tous les canaux des Pays-Bas ont gelés, les glaciers ont connu une énorme croissance au Groenland et les vikings ont été forcés de quitter leurs villages habités depuis plusieurs siècles. La Tamise à Londres et la Seine à Paris furent gelées chaque année. L'humanité a toujours été prospère pendant les périodes chaudes mais elle a aussi souffert pendant les périodes froides.
Certains chercheurs Britanniques mettent en cause le phénomène La Niña dans le pacifique, à l'inverse de El Niño, La Niña se caractérise par un refroidissement anormal de la température de l'océan Pacifique tropical d'environ 0.5°C a 1°C, nous considérons que ces phénomènes sont cycliques et en relation temporelle avec les cycles solaires de 200 ans, le flux de rayonnement solaire atteignant la surface de l'océan se superpose avec ce cycle.
La tendance de la diminution de la température globale a commencé vers 2006-2008, la diminution de l'irradiance solaire après le cycle 24 entre 2013 et 2015 nous mènera à un refroidissement planétaire qui devrait atteindre son minimum profond entre 2055 et 2060 à plus ou moins 11 ans, ce refroidissement pourrait être similaire a celui observée entre 1645 et 1715 lors du minimum de Maunder où la température globale baissa de 1°C a 1.5°C. La période régulière d'un refroidissement climatique dû au minimum solaire dure environ 45 à 65 ans. Ce refroidissement devrait être progressivement remplacé par un réchauffement au cours du vingt-deuxième siècle.
Une prévision du refroidissement à venir au cours du vingt-et-unième siècle est représenté dans le schéma ci-dessous :
L'augmentation de la concentration des gaz à effet de serre n'est pas la cause du réchauffement climatique, mais au contraire, le résultat de l'élévation de la température provoquée par l'augmentation prolongée de l'irradiance solaire.
L'augmentation de la concentration atmosphérique du dioxyde de carbone a bien lieu mais avec un retard (à partir du moment du réchauffement climatique). Un délai est nécessaire à la chaleur des couches profondes de l'océan pour faire fondre pratiquement tous les icebergs flottants (200-800 ans). L'océan est un réservoir de stockage de dioxyde de carbone important et parce que la solubilité des gaz dans l'eau diminue avec l'augmentation de la température. Le réchauffement de l'océan provoque l'émission d'un volume important de gaz dans l'atmosphère. Une autre source d'émission du dioxyde de carbone a été trouvé il y a plusieurs années par les scientifiques du département de l'Est de l'Académie russe des sciences: une grande quantité d'algues mortes à l'intérieur de vieux icebergs flottant dans l'Arctique et près de la côte de l'Antarctique sont rejetés dans l'eau chaude après la fonte des glaces, ils se décomposent, ils sont une autre source majeure d'émission de CO2 dans l'atmosphère. Cela prouve que l'augmentation observée de la concentration de C02 dans l'atmosphère est principalement le résultat de l'augmentation naturel de la température de la terre et de l'océan. Par conséquent, les déclarations populaires du GIEC imputant l'activité industrielle de l'homme jouant un rôle majeur dans le réchauffement climatique a émergé a cause d'un mélange des causes et des conséquences.
Le réchauffement planétaire n'est donc pas causé par les émissions de gaz à effet de serre d'origine anthropique, mais surtout par l'intensité anormalement élevée de la radiation solaire pendant tout le siècle passé. La diminution à venir de la température mondiale aura lieu, même si les émissions anthropiques de CO2 puissent atteindre des niveaux record dans le futur.
L'existence de cycles de variations solaire de 11 ans et de 200 ans identiques et synchronisés de la luminosité, l'activité des tâches solaires et le diamètre du soleil est l'un des faits les plus fiables constaté dans la physique solaire, indique Abdussamatov.
"L'étude des processus physiques sur le soleil nous donne non seulement une compréhension d'un grand nombre de questions astrophysiques, mais aussi des questions de la géophysique, météorologie, biologie et de la médecine. Toutes les sources d'énergie utilisées par l'humanité sont liées au soleil. La chaleur et la lumière du soleil ont assuré le développement de la vie sur Terre et ont formé indirectement des dépôts de charbons, pétrole, gaz etc..."
"Toute la vie sur la Terre et ses conditions futures dépendent directement et presque en totalité de l'irradiance solaire."
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Le Soleil n'est pas enragé
Depuis quelques temps, je suis d'un oeil distrait ce qu'il se passe sur Internet. La pollution par le n'importe quoi semble globale, un peu comme dans les autres domaines, littéraires ou autres, où l'on noît ce qui est important sous un flot de matières nauséabondes. Aussi, je vois ça et là des informations alarmantes sur l'état du Soleil.
S'il est alarmant, le Soleil, c'est par sa faiblesse. J'ai sélectionné deux indicateurs pour illustrer mon affirmation. La courbe de l'irradiance solaire depuis 1979.
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