vendredi 18 novembre 2011

Sommes-nous tous fous ?


Le marketing de la folie

Le documentaire décisif  a voir!!! sur les prescriptions abusives de psychotropes : voici le dessous de l’alliance entre la psychiatrie et les firmes pharmaceutiques qui leur a permis de réaliser plus de 80 milliards de dollars de ventes de psychotropes à un public qui ne se doute de rien.
Mais les apparences sont trompeuses.
Que valent les diagnostics psychiatriques, et jusqu’à quel point ces psychotropes sont-ils sans danger ?
Ce documentaire en trois parties révèle les faits cachés d’un marketing habile et soi-disant scientifique qui dissimule une campagne de vente de produits dangereux et souvent mortels.



Marketing de la folie Intro : sommes-nous tous... par CCDH

Voir la suite:1- 2- 3- 4- 5- 6- 7- 8- 9- 10- 11- 12



La dépression, deuxième cause mondiale d'invalidité des 15-44 ans

Aujourd’hui, a lieu la huitième journée de la dépression. Elle vise à faire prendre conscience de son importance et à évoquer les troubles bipolaires qui concernent aujourd'hui 2% de la population française.
A l’occasion de la huitième journée de la dépression, l'Association France-dépression (www.france-depression.org) organise à son siège à Paris dans le XVe arrondissement une manifestation gratuite pour le public de 14h00 à 22h00, mais aussi d'autres animations à Nancy, Bourges, Tours et Rouen. Le but : faire prendre conscience de l'importance de ce fléau.
Selon l'Organisation mondiale de la santé, d'ici 2020, la dépression deviendra la première cause mondiale d'invalidité, après les maladies cardiovasculaires. Aujourd’hui, elle touche 121 millions de personnes à travers le monde et est déjà la deuxième cause d'invalidité pour les 15-44 ans, des deux sexes, souligne l’Association fondée en 1992 à l'initiative de patients et de médecins de l'hôpital Sainte-Anne à Paris. Ainsi, 2% de la population française souffriraient de troubles bipolaires ou maladie maniaco-dépressive, et trois fois plus de troubles atténués, rapporte TV5monde. Une situation qui apparait d'autant plus dangereuse que la dépression entraîne chaque année 850.000 suicides dans le monde, dont 13.000 en France en 2010.
Selon France-Dépression, il s'écoule entre cinq et dix ans entre le début des troubles et la prise en charge de ces patients, qui présentent souvent un risque suicidaire majeur. "La dépression relève du secteur psychiatrique, donc est associée à la folie pour le commun des mortels. Néanmoins, depuis 2004, je trouve que les mentalités ont évolué dans le bons sens. Il nous faut donc continuer à déstigmatiser cette pathologie et, pour ce faire, nous devons informer, informer, toujours informer", indique Patrick Jeannot, le président de l’Association cité par l'AFP.
Pour cela, des ateliers-débat, des conférences thématiques, des démonstrations de thérapie complémentaire mais aussi des animations artistiques sont prévus dans les différents villes. "Les thérapies complémentaires, à savoir les disciplines orientales, qui sont une des clefs de la prise de conscience de son corps par l'esprit, comme bien d'autres, à la fois culturelles et sportives" font partie des thèmes que France-dépression souhaite introduire.

Maxisciences 

Etats-Unis : une consommation d'antidépresseurs en pleine croissance


Selon les autorités sanitaires américaines, les Américains, dès l'âge de 12 ans, sont de plus en plus accros aux antidépresseurs et en consomment aujourd'hui cinq fois plus qu'il y a 20 ans.
Si les Français sont déjà réputés être de grands consommateurs de médicaments et notamment d'antidépresseurs, les Américains ne semblent pas échappés non plus au phénomène. Une étude publiée hier aux Etats-Unis par les autorités sanitaires révèle que les Américains consomment aujourd’hui cinq fois plus d’antidépresseurs qu’il y a 20 ans. Le rapport des Centres fédéraux de contrôle et de prévention des maladies (CDC) indique même que les antidépresseurs constituent aujourd'hui la troisième classe de médicaments la plus prescrite à tous les âges et même la première chez les Américains de 18 à 44 ans.
Un tiers environ des Américains âgés de 12 ans et plus et ayant des symptômes dépressifs graves sont traités avec des antidépresseurs, rapporte romandie.com. Cela signifie donc que les deux tiers des Américains souffrant de dépression grave ne sont pas traités avec des antidépresseurs, soulignent les CDC, qui relèvent également que plus de 8% de ceux qui prennent ces médicaments n'ont pas de symptôme dépressif.
D'après l'étude, ce dernier groupe pourrait comprendre des sujets prenant des antidépresseurs pour d'autres raisons ou dont les symptômes dépressifs ont disparu. En effet, environ 14% des Américains souffrant d'un état dépressif prennent leur médicament pendant dix ans ou plus, et moins d'un tiers des personnes traitées avec un seul antidépresseur n'avaient pas vu un médecin au cours des douze derniers mois.
Par ailleurs, les chercheurs ont également constaté que les femmes sont deux fois et demi plus nombreuses que les hommes à prendre des antidépresseurs. Ainsi, 23% des Américaines de 40 à 59 ans prennent ces médicaments, la plus forte proportion de tous les groupes. Par contre, riches ou pauvres, il n'y a aucune différence dans la prise d'antidépresseurs, souligne le rapport. Pour le Dr Matthew Rudorfer, directeur adjoint de la recherche à l'Institut national américain de la santé mentale (NIMH), ce fort accroissement de la consommation s'explique entre autres par le fait que la nouvelle génération de ces médicaments est perçue comme étant généralement sans risque et bien tolérée.

Un usage d'antidépresseurs pas toujours nécessaire

Toutefois, "cette recherche n'évalue pas le degré d'incapacité des sujets à vivre normalement", explique le Dr Rudorfer à l'AFP. "C'est la raison pour laquelle les CDC n'utilisent pas les termes de dépression majeure ou clinique", poursuit-il.  Or, "il est estimé qu'un Américain sur six souffre d'une dépression majeure ou clinique à un moment de sa vie". Une telle dépression, la plus grave, engendre un ensemble de symptômes pendant plusieurs semaines qui empêchent le malade, qui reste souvent alité, de vivre normalement.
Ainsi, les symptômes dépressifs sévères cités par le rapport des CDC ne sont pas synonymes de dépression clinique et une personne traversant une période difficile de sa vie peut aisément montrer des symptômes dépressifs aigus tels que ceux décrits par les CDC mais a besoin dans ce cas davantage de psychothérapie que d'antidépresseurs.

Autre article sur le meme theme


La France qui pète les plombs

La France qui pète les plombs
Enseignante qui s’immole par le feu, policière tuée à coups de sabre, forcenés, infanticides en série... Y aurait comme un malaise.
De la rubrique « faits divers » des quotidiens de province aux ­affaires plus médiatiques, il n’est pas une semaine sans que de terribles drames humains surgissent dans l’actualité de notre pays. Rares sont les jours où l’on ­n’apprend pas qu’un bon père de famille, qu’un citoyen modèle, qu’un homme ou qu’une femme au-dessus de tout soupçon a commis l’irréparable. Drames familiaux et infanticides, sur fond de ­séparations mal vécues, drames de la dépression, drames de la solitude ou de la pauvreté, plus rarement œuvres de déséquilibrés, ces douloureuses affaires criminelles touchent à peu près toutes les couches de la population, toutes les régions, de l’agglomération parisienne aux coins les plus ­reculés de cette France que l’on dit profonde. Signe d’un mal-être social croissant ? Simple effet de la loi des séries ? Devant la fréquence de ces horreurs, mais en l’absence de toute statistique sur ces ­tragédies anonymes, aux racines et aux contours forcément différents, difficile d’établir autre chose qu’une macabre comptabilité. Des histoires qui souvent, d’ailleurs, ne donnent lieu à aucune ­enquête de justice du fait de l’extinction de l’action publique, automatique en droit français dès lors qu’un meurtrier se donne lui-même la mort. 
Le suicide au bout de la cavale ? C’est justement l’une des hypothèses envisagées par la police dans la plus emblématique de ces affaires, la plus terrifiante aussi. Voilà un peu plus de six mois, un père de famille nantais totalement transparent,  Xavier Dupont de Ligonnès, disparaissait corps et âme. Il est soupconné d’avoir, auparavant, ­assassiné ­méthodiquement sa femme et ses quatre enfants, que l’on a retrouvés enterrés sous la terrasse de leur maison familiale. Malgré une chasse à l’homme hors normes et des recherches menées dans de nombreux pays, les limiers de la direction centrale de la PJ n’ont toujours pas mis la main sur ce curieux fuyard… et pensent ­sérieusement, aujourd’hui, qu’il a pu mettre fin à ses jours après son carnage.
Six morts dans la maison. C’est le terrible ­bilan de la tuerie familiale survenue dans la nuit du 28 au 29 mai 2010 à Pouzauges (Vendée). Ce soir-là, Emmanuel Bécaud, un médecin de campagne de 34 ans, fracassait à coups de bûche le crâne de ses quatre enfants (âgés de 3 à 9 ans). Puis il poignardait et égorgeait son épouse, avant d’aller se pendre dans son salon. Totalement surmené, ce praticien sans histoire se ­serait autoprescrit un anti­dépresseur très controversé peu avant les faits.
Deux affaires aux conséquences humaines effroyables, qui apparaissent comme les plus extrêmes parmi celles qui ont été recensées ces dix-huit derniers mois en France. Reste que sur une période plus récente, comprise entre le début et la mi-octobre, plusieurs autres drames de la même veine sont venus endeuiller l’actualité.
Lire l'article intégral dans VSD n°1783 (du 27 octobre au 2 novembre  2011) 




La paroxétine


La paroxétine, commercialisée dans certains pays sous les noms de Paxil, Deroxat ou Seroxat, est un antidépresseur inhibiteur sélectif de la recapture de la sérotonine mis sur le marché en 1992 par la compagnie GlaxoSmithKline. Il en existe aujourd'hui plusieurs génériques. Elle est généralement commercialisée sous forme de chlorhydrate hémihydrate de paroxétine (en bref : chlorhydrate de paroxétine), parfois sous forme de chlorhydrate anhydre de paroxétine ou de mésilate de paroxétine.
La paroxetine est devenue l'un des antidépresseurs les plus prescrits en raison de son efficacité apparente dans le traitement de la dépression et d'un spectre de troubles de l'anxiété incluant les attaques de panique et les phobies. Même si certains prétendent que « sa prescription est actuellement controversée en raison des procédures en justice à l'encontre du fabricant », en fait sa prescription est très acceptée et consensuelle en France, dans ses indications prévues par son AMM (Autorisation de Mise sur le Marché). Elle est validée, comme d'autres antidépresseurs, par les autorités de santé, la HAS (Haute Autorité de santé)[2], l'Affssap (Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de santé)[3] et la très grande majorité des médecins qui s'occupent des patients dépressifs. Ceci n'exclut pas une sur-prescription et donc un mauvais usage, pas plus que les effets secondaires qui doivent être maîtrisés. Et, en première analyse, tout ceci est exact pour la plupart des antidépresseurs - et donc pas seulement la paroxetine -. mis sur le marché en France (fluoxetine, paroxetine, sertraline, escitalopram, fluvoxamine... liste non limitative donnée a titre d'exemple).
 



Paxil avocats sont prêts à vous aider avec votre réclamation procès.  Paxil a été indiqué d'avoir des effets secondaires extrêmement dangereux et les symptômes de sevrage. En plus de cela, il a été prescrit à des enfants et il a non seulement été révélée inefficace, il a également été démontré qu'ils pouvaient accroître le risque de pensées suicidaires. De plus, des études ont montré que les femmes qui prennent du Paxil durant le premier trimestre de leur grossesse ont un risque accru d'avoir un bébé né avec des malformations congénitales.  Etes-vous souffrant des effets secondaires dangereux ou des symptômes de sevrage de Paxil? Votre bébé est né avec une malformation de naissance après que vous avez pris du Paxil durant le premier trimestre de votre grossesse? Cliquez sur un panneau du côté gauche ou à droite de cette page pour contacter un avocat expérimenté Paxil maintenant! Vous pouvez avoir une réclamation procès.
Source 



Source
Paxil de GSK (Deroxat en France)
L'antidépresseur suicidaire
Aux Etats-Unis, Glaxo-SmithKline a été condamné à verser 6,8 millions de dollars à la famille d'un homme de 60 ans qui, sous l'emprise du Paxil, a tué sa femme, sa fille et sa petite-fille avant de se suicider. Le laboratoire a fait appel de la décision, puis a finalement transigé en 2001 pour un montant tenu secret. Dans la foulée, le célèbre procureur de l'Etat de New York, Eliot Spitzer, a demandé des comptes à GSK pour dissimulation d'études dénonçant la nocivité de son produit.

Source

Une affaire qui ressemble étrangement a ce que l'on voit quotidiennement dans nos médias:

Tuerie familiale en Corse : le père se disait dépressif

Un pensionné tue sa femme puis se suicide

Haute-Savoie: un père incendie sa maison et se tue avec deux enfants

Gouzeaucourt : une « accumulation de malheurs » à l'origine d'un drame

Alcool, sexe et coup de couteau

 Je ne vais pas tous vous les citer car l'actualité en regorge, mais il est temps de réagir car au final c'est la victime qui paye les pots cassés, car eux ont déjà prévu le coup

Juste un exemple: N'est il pas choquant qu'un médecin traitant puisse prescrire des antidépresseurs sans suivi psychologique?

Les dommages collatéraux dans cette société devenue jetable deviennent extrêmement dangereux ,..et au profit de qui?

GlaxoSmithKline (connu sous le sigle GSK) est une entreprise britannique, numéro 7 de l’industrie pharmaceutique mondiale. Elle résulte de la fusion entre Glaxo Wellcome et SmithKline Beecham en 2000.

Ca ne vous dit rien?


Sclérose en plaques après un vaccin : GSK condamné

PANDEMRIX de GSK? ATTENTION DANGER !

Tétraplégique après injection du vaccin Engérix : GlaxoSmithKline condamné 

Maladie de Parkinson : “Ce médicament m’a rendu fou”

Industrie pharmaceutique : Mediator et Avandia, une guerre de la communication (video)

Et la aussi je vais éviter de faire la liste complète 

Signez la pétition pour une justice pour les victimes de GSK

Ces articles et vidéos montrent bien que ce ne sont pas les remèdes qui sont nocives mais la censure de données vitales les concernant...au profit de... l'argent!  Eh oui toujours le même coupable :(

un site a voir absolument : http://antidepresseurs.wordpress.com/

Méfiez vous lors de prochain traitement miracle et dorénavant renseignez vous bien avant.

Un traitement expérimental de GSK fait maigrir des singes obèses

 Alors certains innovent :

Exposer volontairement les enfants à la varicelle: une bonne idée?

 

Aux Etats-Unis et au Royaume-Uni, des parents tentent d'exposer leurs enfants "naturellement" au virus de la varicelle afin de les immuniser en évitant la vaccination. Plusieurs moyens sont bons: goûters, échanges d'objets, envoie de sucettes par la poste... Des sucettes se vendraient jusqu'à 50 dollars (37 euros) sur Paypal. La pratique s'est aussi étendue à d'autres maladies comme la rougeole, les oreillons ou la rubéole. Cette tendance n'est pas nouvelle mais, avec les médias sociaux notamment, elle aurait pris de l'ampleur et fait les manchettes des médias récemment aux États-Unis.
À tel point que les autorités fédérales américaines ont averti que l’envoi ou le don d'objets infectés est illégal et ont imposé la fermeture de la page Facebook Find a Pox Party in Your Area (Trouver un party varicelle dans votre région), comptant plus de 1000 membres, qui permettait aussi d’échange de sucettes infectées. Les personnes qui font la promotion de cette pratique s'exposent à des poursuites, ont-elles averti.

Des autorités de santé précisent que les sucettes ne sont pas un bon moyen de transmettre la maladie puisque la transmission de ce virus se fait surtout par l'air, mais que la salive peut transmettre d'autres maladies beaucoup plus graves que la varicelle. (Sans compter que de toute façon il n'y a pas moyen de vérifier si les sucettes achetées sur internet ont effectivement été mises en contact avec des enfants portant le virus, le marché lucratif attirant certainement des vendeurs peu scrupuleux).
Par ailleurs, contracter la varicelle représente un certain risque pour les enfants puisqu'avant la vaccination une centaine d'enfants par année décédaient de cette maladie aux États-Unis. Les enfants exposés au virus de la varicelle sont aussi plus susceptibles que ceux vaccinés de contracter le zona plus tard dans la vie, indique Rafael Harpaz, épidémiologiste aux Centers for Disease Control à Atlanta.
Les enfants infectés peuvent aussi mettre en danger des personnes de leur entourage tels que les adultes et les personnes au système immunitaire affaibli.
Enfin, la maladie, même dans sa forme bénigne, comporte des symptômes pénibles pour l'enfant (symptômes s'apparentant au rhume, fièvre, démangeaisons et pour certains vomissements et diarrhée).
Contrairement à la France ou seules les personnes à risque sont vaccinées, la vaccination vise tous les jeunes enfants aux Etats-Unis depuis 1995. Quelque 6% des parents choisiraient de ne pas le donner à leur enfants, selon une récente étude publiée dans la revue Pediatrics.


Pshychomedia


C'est clair que l'échange de sucette c'est moyen mais sinon l'idée est bonne lol Après tout, c'est une maladie inoffensive pour les enfants. Y a un commerce a se faire la dedans ;D
Je ne suis pas anti vaccin, mais la vaccination massive n'a pas de sens : A quoi ca sert d'être vacciné si la maladie est éradiquée sur le territoire? Elle perd tout son sens? sachant  que son efficacité n'est pas prouvé Autant ce faire vacciner si l'épidémie est  RÉELLE! 

J'ai déjà vécu "une vaccination massive " je suis vaccinée contre l'hépatite B et je comprends pourquoi mes parents l'ont voulu. C'est la santé de votre enfant qui est en jeu ! Et a l'époque, internet était un mythe loool  Mais aujourd'hui, un vrai cas de conscience se pose " la peste ou le choléra? 

"Mon chéri tu n'auras l'hépatite B :) mais tu risque une sclérose en plaque :S et toi ma chérie, tu n'auras pas le cancer du col de l'uterus mais du pourrais devenir la belle au bois dormant :S "

A nous de choisir?

Némésis

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