96 % de l’Univers est constitué d’éléments inconnus. 23% est constitué de matière noire qui est seulement détectable par ses effets gravitationnels et 73% est de l’énergie noire qui semble jouer un grand rôle dans l’accélération de l’expansion de l’Univers. La matière ordinaire (les étoiles, les galaxies, les planète, nous) représente seulement 4% de l’Univers.
12500 : nombre approximatif de gènes dans le génome humain dont la fonction reste indéterminée. Cela représente environ 5°% du total estimé de gènes codant les protéines. Et les gènes ne représentent que 2% du génome humain.
Des portions restantes aident à réguler l’activité des gènes. Environ 3,5% de notre génome consiste en de l’ADN non codant (qui ne code pas les protéines) dont la fonction est inconnue.
5 millions : Estimation basse du nombre d’espèces non décrites sur la planète; leur nombre pourrait être aussi élevé que 50 millions. Seulement 1,9 millions d’espèces ont reçu un nom scientifique. Un grand nombre de bactéries, insectes et créatures des profondeurs marines reste non décrit. On pense que les espèces vivantes aujourd’hui représentent moins de 1% de celles ayant vécu.
85 millions : nombre estimé de cellules du cerveau humain qui ne sont pas des neurones, selon une étude de neuroscientifiques brésiliens (qui date de 2009). Les neurones représentent moins de 50% de toutes les cellules du cerveau. Les chercheurs n’ont commencé que récemment à cataloguer les fonctions des cellules restantes connues sous le nom de gliales. Elles pourraient jouer un rôle crucial dans la création d’une substance appelée myéline qui permet l’isolation des neurones; digérer et nettoyer les cellules mortes du cerveau; et aider à former et maintenir les points de connexion entre les neurones et les autres cellules.
Source
Aliensx
Mais nous faisons tous pour tenter de comprendre:
Le voyage de particules de lumière filmé !
"Ultimate" est le dernier système d’imagerie parmi les plus rapide au monde. Développé par une équipe de l’Institut de technologie du Massachusetts (MIT), l’appareil permet de capturer des clichés avec une durée d'exposition d’une picoseconde soit le temps mis par un photon pour parcourir une distance de 3,3 millimètres. Moyennant une saisie d’environ mille milliards de photographies par seconde, les chercheurs sont parvenus à réaliser des séquences présentant au ralenti le voyage d’un faisceau lumineux à travers une bouteille en plastique d’un litre ou encore la réflexion des particules de lumière sur une tomate.
Pour en arriver à la réalisation d’un tel dispositif, les scientifiques sont partis sur la base d’une caméra à balayage de fente destiné normalement à mesurer les pulsations d’un laser. Cet appareil, aussi puissant soit il, ne permet d’enregistrer des séquence seulement en une dimension. Pour remédier au problème, un système de miroirs a été ajouté permettant de balayer la scène dans son intégralité.
Une heure de prises de vue pour une nano seconde de vidéo !
La dernière version "d'Ultimate", révélée à l’occasion d’une conférence de l'Optical Society Computational, s’avère être un véritable révolution bien que l’appareil ne soit pour le moment pas capable de capturer tous les éléments d’une scène en une seule fois. Il aura fallu aux chercheurs une heure de prises de vue pour réaliser une vidéo de quelques secondes montrant le mouvement des particules de lumière. Ces séquences montées au ralenti, durent en réalité à peine un milliardième de seconde.
Outre l’aspect exceptionnel de ses productions vidéographiques, dispositif présente d’ores et déjà de nombreuses applications. Les chercheurs pensent en effet que celui-ci pourrait être utilisé en imagerie médicale afin d’augmenter la précision des clichés réalisés à partir d’autres systèmes, comme l’IRM, ou encore dans le domaine de l’industrie pour repérer les défauts de fabrication.
Maxisciences
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