vendredi 23 décembre 2011

Hausse rapide des feux de végétation dans de grandes parties du Canada


Les incendies sont un facteur important dans de nombreux écosystèmes terrestres. Ils sont le résultat de l'interaction de l'utilisation météorologiques, la végétation et la terre, ce qui les rend très sensibles aux changements globaux.
De grandes régions forestières au Canada sont apparemment sur le point de subir des changements rapides. Basé sur des modèles, les scientifiques peuvent maintenant montrer qu'il existe des valeurs seuils pour les feux de forêt, tout comme il ya des épidémies. De vastes régions du Canada sont apparemment rapproche de cette valeur seuil, et pourrait à l'avenir le dépasser à cause du changement climatique.
En conséquence tant de la zone brûlée annuellement et la taille moyenne des feux augmenterait, écrivent les chercheurs du Centre Helmholtz pour la recherche environnementale (UFZ) et l'Université du Michigan dans le numéro de Décembre de la revue The American Naturalist. La lutte contre les incendies pour les stratégies dans de grandes parties du Canada devrait donc être reconsidérée.
Selon les médias, après des semaines de sécheresse environ 1.000 hectares de forêt et de garrigue ont été brûlées dans la province de l'Ouest canadien en Colombie-Britannique à l'été 2009 seulement. 11.000 personnes ont dû être évacués. Sont tels événements à la hausse en raison du changement climatique?
Cette question est vivement débattue par les écologistes du monde entier. En Juillet un groupe de chercheurs américains dirigée par Anthony Westerling de l'Université de Californie prévu des changements similaires dans la revue PNAS. Ils croient que le changement climatique pourrait entraîner une augmentation spectaculaire de la menace de feux de forêt en parc national de Yellowstone, et que les forêts pourraient disparaître ici, dans le 21e siècle.
Les incendies sont un facteur important dans de nombreux écosystèmes terrestres. Ils sont le résultat de l'interaction de l'utilisation météorologiques, la végétation et la terre, ce qui les rend très sensibles aux changements globaux.
"Les changements dans le régime de feu de forêt ont un impact significatif à l'échelle locale et mondiale, et donc sur le climat ainsi. Il est donc important de comprendre comment les mécanismes qui façonnent ces travaux incendies afin d'être en mesure de faire des prédictions sur ce qui va changer à l'avenir », explique Volker PD Dr. Grimm de l'UFZ.
Pour leur modèle, les scientifiques ont évalué les données du Service canadien des forêts, qui avait enregistré des incendies plus de 200 hectares entre 1959 et 1999, et ces triés par écozone. Cela a montré que trois de ces écozones du Canada sont proches d'un tournant: les Plaines d'Hudson au sud de la baie d'Hudson, les Plaines Boréale dans le Mid-West le bouclier boréale, qui s'étend de la mi-Ouest à la côte Est et se donc la plus vaste écozone au Canada.
Le plus proche à un point tournant est apparemment le Bouclier Boréale. Afin de vérifier leur modèle et la théorie d'une valeur de seuil pour les feux de forêt, les chercheurs ont regardé les feux dans cette région de plus près. Vers 1980, la taille moyenne des incendies dans cette partie des provinces de l'Alberta, la Saskatchewan et du Manitoba ont triplé rapidement.
«À notre avis, c'est un signe qu'il ya aussi des valeurs seuils pour les forêts au-dessus duquel le régime drastique changements traînée de poudre», rapporte Volker Grimm. "Il est probable que les Plaines Boréale ont dans les dernières décennies, en particulier autour de 1980, a connu un changement à un système caractérisé par des incendies.
Cela a des répercussions fondamentales pour l'environnement et la lutte contre les incendies de forêt. De petits changements dans les paramètres de la propagation du feu ont un grand impact sur la taille de l'incendie. "Changements graduels, comme celles qui peuvent être attendus en raison du changement climatique, peut donc entraîner une augmentation brusque et brutale de la taille de l'incendie.
Les scientifiques ont également été intéressés par les parallèles avec la propagation de la maladie. Les stratégies de prévention, qui réduisent les matières combustibles, sont d'une manière similaire aux vaccinations qui sont utilisées contre la propagation de maladies telles que la rougeole. Ici aussi il ya une valeur seuil à partir duquel une propagation des maladies et en dessous de laquelle il tombe.
Autres modélisateurs de l'UFZ ont donc été en mesure de transformer cette valeur seuil théorique en une valeur pratique. Avec renards on a montré que seulement 60% devaient être vaccinés contre la rage pour réussir à combattre la maladie. Les scientifiques ont donc espérer en savoir plus dans les futures études qui couvrent les deux disciplines.

Terradaily 


par les rédacteursChicago, IL (SPX) 21 décembre 2011



Celestial Convergence

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