mardi 31 janvier 2012

Aurore boréale vue de l'ISS...ses astronautes coincés dans l’espace

L'aurore boréale vue de l'ISS

L'aurore boréale exceptionnelle provoquée, la semaine dernière, par l'éruption solaire la plus puissante depuis 2005, a été photographiée depuis la Station spatiale internationale (ISS).



L'astronaute américain Don Pettit a mis ses clichés bout à bout et réalisé ce montage, publié par le blog Dot Earth du New York Times.


Elle a aussi été filmée par Alister Chapman, un chasseur de phénomènes climatiques qui, pour capturer l'événement, avait planté sa caméra à Tromso (Norvège), au nord du cercle polaire.


Dance of the Spirits. Real Time Aurora footage. from Ingenious TV on Vimeo.

Auteur : globservateur.blogs.ouest-france.fr

Module mère comment va la terre bleue?

Des astronautes de l’ISS coincés dans l’espace


Depuis l’arrêt des navettes spatiales américaines, la Russie est le seul pays à pouvoir transporter un équipage à bord de la Station Spatiale Internationale. Le problème? La capsule Soyouz qui était censée ramener l’équipage fin mars présente des défauts d’étanchéité.
Même si la Russie reste un des grands acteurs des programmes spatiaux, il faut bien reconnaitre qu’ils ont vécu un trop grand nombre d’échecs ces derniers mois pour parler d’incidents isolés. Un échec de ravitaillement de l’ISS, la destruction d’une fusée Soyouz avec un satellite militaire à son bord, la perte de la sonde Phobos-Grunt…
Les astronautes de l’ISS attendaient donc une capsule Soyouz remplie d’un équipage bien frais à la fin du mois de mars. Hélas, avec ce problème d’étanchéité, il va falloir utiliser une autre capsule Soyouz, celle qui devait servir le 30 mai. Seulement, avant de pouvoir l’utiliser, il va falloir vérifier son intégrité. Ce qui va décaler le lancement d’un mois au minimum. Le lancement qui était prévu le 30 mai se verra également décalé d’un mois, le temps de réparer la fissure détectée dans la capsule Soyouz.
Bref, ces nouvelles tombent mal pour les Russes. Et le retour des astronautes qui se trouvent actuellement dans l’ISS est simplement reporté, mais que se passerait-il si la capsule Soyouz de remplacement n’est pas fiable ? [Libération]

 Gizmodo

L'activité du soleil et d'autres conditions météorologiques spatiales sont surveillés par la NASA afin de déterminer les dangers potentiels pour les astronautes. Cette fois inclus les astronautes de la navette, mais depuis l'arrêt du programme de vols spatiaux habités américains en 2011, les rapports sont effectuées uniquement pour ceux à bord de la Station spatiale internationale.  Un porte-parole de la NASA, Kelly Humphries, a noté que les six habitants d'espace actuellement en orbite ne sont pas en danger imminent. Les éruptions solaires et les tempêtes sont également surveillés en raison de leur potentiel de perturber les opérations des satellites dans l'espace, pour ne pas mentionner les réseaux électriques et l'infrastructure de communication sur Terre. Les scientifiques voient l'augmentation de l'activité à ce jour en 2012 comme une montée en puissance de la période une encore plus actif en 2013.  L'activité du soleil flux et reflux dans un cycle de 11 ans, qui se rapproche au maximum solaire. Huliq .

Phobos est tombée : c'est la faute aux rayons cosmiques... ou aux puces



Image du décollage de la sonde Phobos, le 9 novembre 2011.
Image du décollage de la sonde Phobos, le 9 novembre 2011.AP/STR

Les effets des rayonnements cosmiques sont vraisemblablement à l'origine du fiasco de la sonde martienne russe Phobos-Grunt, a déclaré, mardi 31 janvier, le chef de l'agence spatiale russe, Vladimir Popovkine, en évoquant aussi l'utilisation de puces étrangères de contrefaçon.

"La raison la plus probable, selon la commission d'enquête, est l'effet local de particules lourdement chargées dans l'espace qui a entraîné une défaillance de l'ordinateur principal", a déclaré le directeur de Roskosmos, Vladimir Popovkine, cité par les agences russes. Il a par ailleurs indiqué que des puces contrefaites avaient été utilisées dans la sonde. "C'est peut-être cela la raison [de l'échec de Phobos-Grunt]", a ajouté M. Popovkine. "Ces puces différaient de celles utilisées précédemment. Elles étaient de 90 nanomètres au lieu de 200. Ces composants venaient de l'étranger", a-t-il précisé....lire la suite sur Le monde

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