Le gouvernement Japonais, accompagne des grands nom de l'industrie Japonaise,
a signe un accord pour creer une ville dans le sud de l'Inde, ayant une capacite de 50.000 personnes et presentant une taille d'environ 2km⊃2;. Le project consisterait a la creation d'une "station balneaire de qualitee Japonaise" comportant tout le luxe de la vie moderne, parc industriel, hopital, galeries marchande, mini-golf etc..Certains pensent qu'il s'agit la du veritable plan de l'elite Japonaise, d' abandonner le navire
et serait la raison reelle des fortes hausses d'impots decide part le gouvernement du 1er ministre noda.Dans le Japon post-fukushima, malgres la grande necessite des populations du nord-est et le devoir du gouvernement a reconstruire, suite aux devastations causees par la triple catastrophe, il a ete choisi d'utiliser l'argent disponible pour de tels projets au detriment de l'aide aux sinistres. La banque du Japon a ouvert des lignes d'echanges de monnaie d'une valeur de plusieurs milliards de dollars en accord avec d'autres pays. 15 milliards avec l'Inde et 70 milliards avec la Coree du sud. Pendant que les gens souffrent, le gouvernement semble occupe a distribuer l'argent ailleurs en Asie plutot qu'a essayer de solutionner la crise nucleaire en cours. extraits d'un article du journal Yomiuri datant du 5 janvier 2012:
"Le gouvernement va, dans le cadre de sa politique d'export de technologies,
developper un projet de construction a grande echelle dans le sud de l'Inde en banlieue de Chennai." "Le plan est de creer une ville entiere d'une capacitee de 50.000 personnes, comportant un parc industriel, des hopitaux ainsi que des magasins pour
accommoder les resident Japonais en Inde." "Ce sera le 1er projet de ce type prevu par l'administration noda dans le cadre de sa nouvelle politique de croissance et d'export."
"Le ministre de l'economie l'echange et l'industrie, Mr edano va visiter Chennai le 10 Janvier pour consolider les relations entre leur gouvernement respectifs."
"Les groupes bancaire Mizuho et JGC vont investir 52millions de dollars dans la creation du projet. La ville sera d'une taille d'environ 2km⊃2; et les travaux de construction demarreront cet ete. Les usines seront loges dans le parc industriel et entreront en activite en 2013." "Le site balneaire fera face a l'ocean indien et comportera tout le luxe de la vie moderne pour les residents Japonais expatries ainsi que leur famille. Le standard sera de haute qualitee et comportera meme un terrain de golf." Le journal yomiuri semble signifier que le projet n'en est qu'a l'ebauche alors qu'en fait, le Japon etait deja en negociations depuis l'ete dernier (2011).
Le journal Times of India rapporte le 11 janvier 2012: "Le gouvernement Tamil Nadu a signe un accord avec un groupe d'investisseurs Japonais et la societe ascendas pour creer une ville Japonaise 'tendances ecologique' a Chennai, en Inde[..]"
Un débit de dose de 1.2 µSv/h (à 1m du sol) a été contrôlé au niveau de l'entrée d'un appartement neuf à Nihonmatsu, 70 km au Nord-Ouest de la centrale de Fukushima-Daiichi. Les appartements sont neufs (juillet 2011) et ont été bâtis afin de reloger les familles déplacées de la "zone rouge". Il semble que le gravier utilisé pour la construction provienne lui-même de la zone rouge, plus précisément de la ville de Namie, elle-même située à 20 km au Nord de la centrale accidentée.
Plus de 5000 tonnes de ce même gravier auraient été commercialisés sur le territoire de la préfecture de Fukushima ; le gouvernement Japonais avoue ne pas avoir défini à ce jour de limite de commercialisation sur les produits destinés à la construction (déjà assez "naturellement" radioactifs par ailleurs).
La dose annuelle équivalente à l’exposition dans ces appartements est estimée à environ 10 mSv, ce qui est 10 fois supérieur à la limite d'exposition du public en temps de "non-crise" nucléaire, cette limite étant volontiers "délimitée" en cas de crise ; ainsi au Japon le seuil d'exposition a-t-il opportunément été relevé de 1 à 20 mSv/an pour tous (1) après l'accident.
Sur le plan sanitaire, il est évident que la radioactivité ne s'éliminant que d'elle même, l'ensemble des produits manufacturés ou prélevés dans la région touchée par les retombées de l'accident doit être passé en revue et défini dans un inventaire. Le gouvernement Japonais - avec sa désinvolture habituelle - préfère travailler au coup par coup quitte à entre confronté ensuite à des réactions violentes d'un peuple pourtant très policé.
Un papier du mainichi révèle ainsi comment 420 Millions de Yen ont été dérobés dans les DAB (distributeurs de billets) situés dans la zone interdite. Les billets sont radioactifs, où circulent-ils en ce moment ? Quels seront les contrôles effectués et les seuils définis sur ce produit-phare de notre société de consommation ? Mystère et boules de gomme... radioactive.
Sources :
ex-skf, 15/1, anglais
asahi.com, 16 janvier, Japonais
(1) Notamment les jeunes enfants et les fœtus pourtant beaucoup plus sensibles à l'irradiation et à la contamination
a signe un accord pour creer une ville dans le sud de l'Inde, ayant une capacite de 50.000 personnes et presentant une taille d'environ 2km⊃2;. Le project consisterait a la creation d'une "station balneaire de qualitee Japonaise" comportant tout le luxe de la vie moderne, parc industriel, hopital, galeries marchande, mini-golf etc..Certains pensent qu'il s'agit la du veritable plan de l'elite Japonaise, d' abandonner le navire
et serait la raison reelle des fortes hausses d'impots decide part le gouvernement du 1er ministre noda.Dans le Japon post-fukushima, malgres la grande necessite des populations du nord-est et le devoir du gouvernement a reconstruire, suite aux devastations causees par la triple catastrophe, il a ete choisi d'utiliser l'argent disponible pour de tels projets au detriment de l'aide aux sinistres. La banque du Japon a ouvert des lignes d'echanges de monnaie d'une valeur de plusieurs milliards de dollars en accord avec d'autres pays. 15 milliards avec l'Inde et 70 milliards avec la Coree du sud. Pendant que les gens souffrent, le gouvernement semble occupe a distribuer l'argent ailleurs en Asie plutot qu'a essayer de solutionner la crise nucleaire en cours. extraits d'un article du journal Yomiuri datant du 5 janvier 2012:
"Le gouvernement va, dans le cadre de sa politique d'export de technologies,
developper un projet de construction a grande echelle dans le sud de l'Inde en banlieue de Chennai." "Le plan est de creer une ville entiere d'une capacitee de 50.000 personnes, comportant un parc industriel, des hopitaux ainsi que des magasins pour
accommoder les resident Japonais en Inde." "Ce sera le 1er projet de ce type prevu par l'administration noda dans le cadre de sa nouvelle politique de croissance et d'export."
"Le ministre de l'economie l'echange et l'industrie, Mr edano va visiter Chennai le 10 Janvier pour consolider les relations entre leur gouvernement respectifs."
"Les groupes bancaire Mizuho et JGC vont investir 52millions de dollars dans la creation du projet. La ville sera d'une taille d'environ 2km⊃2; et les travaux de construction demarreront cet ete. Les usines seront loges dans le parc industriel et entreront en activite en 2013." "Le site balneaire fera face a l'ocean indien et comportera tout le luxe de la vie moderne pour les residents Japonais expatries ainsi que leur famille. Le standard sera de haute qualitee et comportera meme un terrain de golf." Le journal yomiuri semble signifier que le projet n'en est qu'a l'ebauche alors qu'en fait, le Japon etait deja en negociations depuis l'ete dernier (2011).
Le journal Times of India rapporte le 11 janvier 2012: "Le gouvernement Tamil Nadu a signe un accord avec un groupe d'investisseurs Japonais et la societe ascendas pour creer une ville Japonaise 'tendances ecologique' a Chennai, en Inde[..]"
Source
Trouvé sur Fukushima information
Contamination : des évacués rattrapés par la radioactivité à 70 km de Fukushima-Daiichi
Le Japon devra définir de nouveaux seuils de radioactivité sur un tas de chosesUn débit de dose de 1.2 µSv/h (à 1m du sol) a été contrôlé au niveau de l'entrée d'un appartement neuf à Nihonmatsu, 70 km au Nord-Ouest de la centrale de Fukushima-Daiichi. Les appartements sont neufs (juillet 2011) et ont été bâtis afin de reloger les familles déplacées de la "zone rouge". Il semble que le gravier utilisé pour la construction provienne lui-même de la zone rouge, plus précisément de la ville de Namie, elle-même située à 20 km au Nord de la centrale accidentée.
Plus de 5000 tonnes de ce même gravier auraient été commercialisés sur le territoire de la préfecture de Fukushima ; le gouvernement Japonais avoue ne pas avoir défini à ce jour de limite de commercialisation sur les produits destinés à la construction (déjà assez "naturellement" radioactifs par ailleurs).
La dose annuelle équivalente à l’exposition dans ces appartements est estimée à environ 10 mSv, ce qui est 10 fois supérieur à la limite d'exposition du public en temps de "non-crise" nucléaire, cette limite étant volontiers "délimitée" en cas de crise ; ainsi au Japon le seuil d'exposition a-t-il opportunément été relevé de 1 à 20 mSv/an pour tous (1) après l'accident.
Sur le plan sanitaire, il est évident que la radioactivité ne s'éliminant que d'elle même, l'ensemble des produits manufacturés ou prélevés dans la région touchée par les retombées de l'accident doit être passé en revue et défini dans un inventaire. Le gouvernement Japonais - avec sa désinvolture habituelle - préfère travailler au coup par coup quitte à entre confronté ensuite à des réactions violentes d'un peuple pourtant très policé.
Un papier du mainichi révèle ainsi comment 420 Millions de Yen ont été dérobés dans les DAB (distributeurs de billets) situés dans la zone interdite. Les billets sont radioactifs, où circulent-ils en ce moment ? Quels seront les contrôles effectués et les seuils définis sur ce produit-phare de notre société de consommation ? Mystère et boules de gomme... radioactive.
Sources :
ex-skf, 15/1, anglais
asahi.com, 16 janvier, Japonais
(1) Notamment les jeunes enfants et les fœtus pourtant beaucoup plus sensibles à l'irradiation et à la contamination
Trouvé sur Scoop it
Put... ca commence a ressembler au film 2012, mdr
RépondreSupprimerloooooooool pour créer faut s'inspirer et la folie de certains ont surement aidé a réalisé les plus bo films ;)
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