lundi 9 janvier 2012

Attention les phénomènes météorologiques côtièrs seront plus extrêmes!



4 janvier 2012: Un avertissement a été émis aux centres côtiers de Nouvelle-Zélande, y compris Gisborne, que la vie dans ces endroits va être plus problématique en raison d'une augmentation confirmée dû  à des événements météorologiques extrêmes, et autres impacts du changement climatique.
L'avertissement vient du Dr David Wratt, le directeur de la Niwa du Centre sur le changement climatique national, qui était celle d'un certain nombre de scientifiques néo-zélandais impliqués dans un rapport spécial publié par l'organisme mondial sur le climat, le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC).
D'autres Néo-Zélandais de l'équipe rapport ont été professeur Glenn McGregor, de l'Université d'Auckland et professeur agrégé de John Camobell de l'Université de Waikato.
Dr Wratt, qui est également chercheur en chef au Centre de climatologie de l'Niwa, affirme le rapport du GIEC conclut que le changement climatique se traduit par une augmentation de la fréquence, l'intensité et la durée des phénomènes météorologiques et climatiques.
Il dit que le rapport du GIEC utilisé des observations recueillies depuis les années 1950, et conclut qu'il ya eu une diminution du nombre de jours froids et des nuits au niveau mondial et une augmentation globale du nombre de journées et nuits chaudes..
Le rapport indique que les tendances pour ce siècle indiquent plus chaudes et moins froids extrêmes de température quotidienne autour du globe.
Dr Wratt dit qu'il est de 90-100 pour cent de confiance qu'il y aura une augmentation de la fréquence des épisodes de fortes précipitations tout au long du 21ème siècle sur de nombreuses régions du globe, et la moyenne des vitesses de vent dans les cyclones tropicaux vont augmenter.
«Nous avons une grande confiance que les événements extrêmes auront des impacts plus importants sur les secteurs directement tributaire de la météo et le climat», explique le Dr Wratt.
«Secteurs de l'agriculture en Nouvelle-Zélande, l'horticulture et de l'énergie relèvent clairement dans cette catégorie.
"La forte probabilité de plus en plus sévère du niveau des mers extrêmes est aussi significatif, étant donné que 12 de la Nouvelle-Zélande 15 plus grandes villes sont situées sur la côte."
Dr Wratt dit le défi pour les décideurs consiste à élaborer des stratégies pour réduire la vulnérabilité et l'exposition des personnes et des biens aux extrêmes du changement climatique.
«De cette façon, les conditions météorologiques et climatiques extrêmes ne deviendra pas nécessairement une catastrophe."
Le rapport du GIEC et les remarques du Dr Wratt sont soutenues par une étude réalisée par l'Université de Princeton, vient de publier dans le Journal of Climate.
Les chercheurs de Princeton ont entrepris la première étude d'envergure pour se concentrer sur les variations des conditions météorologiques quotidiennes plutôt que de moyennes mensuelles ou annuelles.
L'étude a constaté que de jour en jour météorologiques a augmenté plus en plus erratique et extrême, avec fluctations significative dans le soleil et les pluies affectent plus d'un tiers de la planète.
L'équipe a constaté que les journées très ensoleillé ou nuageux sont devenus plus fréquents que dans les années 1980 et qui swingue d'orages à des conditions sèches ont aussi augmenté considérablement.
Des régions comme l'Afrique équatoriale et d'Asie ont connu la plus forte augmentation de la fréquence des conditions extrêmes, avec des variations erratiques des conditions météorologiques tout au long de l'année.
Même les régions plus tempérées ont une augmentation de jour en jourvariable.
William Rossow, professeur de sciences du système terrestre et génie de l'environnement au City College de New York dit que la recherche de Princeton montre que l'augmentation des sauts d'un état extrême à l'autre affecte l'équilibre  dans le monde de la pluie.


The Gisborne herald

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