Une épidémie de rougeole sévit en France depuis 2008 et plus de 10 500 cas ont déjà été déclarés. Au début de l’année 2010, la circulation du virus s’est intensifiée et, selon l’InVS (Institut de veille sanitaire) plus de 5 000 cas ont été signalés entre janvier et décembre alors qu’il est certain que tous les cas n’ont pas été déclarés, bien que ce soit obligatoire.
Il est certain qu’il s’agit d’une « épidémie » alors que la population est de plus en plus vaccinée, particulièrement les enfants.
Parmi ces cas, 1500 ont été hospitalisés, ce qui prouve leur gravité, 9 ont été compliqués d’encéphalite infectieuse et 273 ont subi des complications pulmonaires. Les données montrent que les taux d’incidence en 2010 ont plus que triplé chez les moins de 1 an et ont augmenté de près de 5 fois chez les adultes de 20 ans et plus par rapport à 2009. La tendance semble encore s’aggraver au début de l’année 2011.
Il faut noter que les cas des plus de 20 ans s’élèvent à 1722 cas sur 5021, soit environ 35 % de la totalité des malades, que sur 1480 cas hospitalisés 801 malades avaient plus de 20 ans (soit plus de 54 %) et que le nombre de complications des plus de 20 ans est de 248 sur 427 soit plus de 58 %.
Ces chiffres montrent bien le déplacement de l’âge des cas de rougeole - maladie essentiellement infantile avant l’introduction du vaccin - vers les adultes et surtout l’augmentation de sa gravité, puisque le nombre de cas de rougeoles hospitalisées avec complications chez les enfants de 1 à 9 ans ne représente que 72 cas sur les 5 021 cas déclarés soit 1,43 % alors que chez les plus de 20 ans on trouve 148 cas sur 5021 soit 5 % des cas.
Ces chiffres permettent à certains de nos médias, visiblement « informés » par les laboratoires, de déclarer : « La rougeole est une maladie mortelle mais évitable grâce à la vaccination qui touche principalement les enfants de moins de cinq ans. Lorsqu’elle ne provoque pas le décès, elle peut entraîner la cécité, la surdité ou la pneumonie. Du fait que la rougeole est très contagieuse, la couverture vaccinale doit être maintenue à 90 % au moins. »
Ceux qui osent faire peur à la population en déclarant ainsi que lorsque la rougeole ne tue pas, elle risque d’entraîner la cécité, la surdité ou la pneumonie afin de les vacciner encore davantage, devraient se renseigner avant de mentir aussi impunément. Depuis le début de « l’épidémie » il y a eu 5 morts au total, dont une petite fille qui n’avait pas été vaccinée, comme on l’a fortement souligné, car son frère avait été hospitalisé pour une grave réaction à la vaccination que l’on s’est bien gardé de signaler.
Comme l’a fait remarquer Michel Georget, professeur agrégé de biologie, dans son ouvrage Vaccinations, les vérités indésirables : « Entre 1906 et 1983, année du lancement de la campagne de vaccination, le nombre de morts dus à la rougeole est passé de 3 754 à 20, soit une diminution de 99,5 % malgré une augmentation parallèle de la population de 33 % (Annuaire statistique de la France). » Cela prouve bien que cette diminution spectaculaire n’est pas due au vaccin. Mais comme on a commencé à vacciner dès cette époque, le public et les pouvoirs dits de santé, fortement influencés par toutes les publications « scientifiques » commanditées par les laboratoires, ont attribué cette amélioration au vaccin.
La mortalité par la rougeole avait pareillement diminué de 97 % en Grande-Bretagne avant l’introduction du vaccin.
Quant à la gravité de cette « maladie souvent mortelle », on pouvait lire en 1976 dans Le Concours médical (T98) : « La rougeole, une des maladies dites bénignes de l’enfance, mérite pleinement cette appellation en France ». Et dans La Médecine praticienne, n° 664 d’avril 1977, le Pr Bastin confirmait : « Il serait difficile de vacciner systématiquement chez nous où la maladie est bénigne puisque, sur 100 rougeoleux hospitalisés (donc des cas choisis pour leur sévérité), la mortalité est de 0,17. »
Toutefois, à peine quelques années plus tard, le discours officiel prit une tournure différente car la maladie était soudain devenue « très fréquente et dangereuse » et elle l’est restée. Pourquoi cette volte-face ? Simplement parce que ce vaccin venait d’apparaître et il fallait bien le vendre.
à présent on nous répète inlassablement que le seul moyen d’éviter cette maladie est de se faire vacciner, alors que le Dr Mendelsohn, pédiatre américain aujourd’hui décéda mais qui exerça une forte influence sur la médecine infantile dans son pays, a remarqué : « Depuis 30 ans qu’on vaccine aux USA contre la rougeole, les épidémies de rougeole n’ont pas baissé d’intensité, touchant dans 10 % des cas des adultes de plus de vingt ans avec des formes d’autant plus graves, et la mortalité par rougeole a été multipliée par 25 depuis ces campagnes vaccinales. »
Déjà, en 1984, une étude publiée dans le Journal of the American Medical Association (Jama) témoignait de la recrudescence des cas de rougeole qui passèrent alors de 0,5/100 000 en 1983 à 1/10 000, dont 38,1 % correctement vaccinés. En 1995, le laboratoire SmithKline Beecham, pourtant fabricant de vaccins, avait publié le même genre de constat alarmant : « Les rougeoles ont été 18 fois plus nombreuses aux USA en 1990 (27 672 cas) qu’en 1983, malgré une vaccination systématique contre la maladie depuis 1978. Ainsi, 18 épidémies ont été recensées parmi les populations scolaires très immunisées (de 71 % à 99,8 %) et pas moins de 77 % des rougeoles déclarées sont apparues chez des élèves vaccinés. L’échec d’une vaccination préscolaire se traduit donc par une transformation paradoxale de la rougeole en maladie des vaccinés. » En résumé, aux États-Unis, la rougeole est en constante augmentation depuis les vaccinations (cf. Arch. Intern. Med, 1994).
Depuis lors, les publications sur l’inefficacité du vaccin se sont succédées sans faire bouger d’un iota les pouvoirs sanitaires et les lobbies vaccinaux. Ainsi Jama et le New England Journal of Medicine ont publié des dizaines d’études démontrant que les cas de rougeole touchaient 80 à 98,7 % des enfants vaccinés.
Ces constats ont été confirmés le 4 février 2009 par la déclaration du Pr Lévy-Bruhl de l’Institut de veille sanitaire, lors d’une émission sur TV5. Alors que Jean-Marie Mora, président de la Ligue pour la Liberté des vaccination, a demandé au professeur Levy-Bruhl pourquoi, lors d’une épidémie de rougeole qui s’est déclaré dans un établissement scolaire du Minnesota en 2006, 89 % des 789 cas étaient vaccinés, le Pr Lévy-Bruhl lui a répondu : « C’est normal, quand tout le monde est vacciné, ceux qui attrapent la maladie sont forcément vaccinés ». Ce spécialiste des vaccins a ainsi admis ouvertement que le vaccin ne protégeait pas de la maladie.
Aussi, il est surprenant d’apprendre qu’il faudrait atteindre 95 % de vaccinations pour « éradiquer » la maladie, alors que la couverture vaccinale atteint en moyenne plus de 95 %, mais avec une seule dose, autrefois suffisante aux dires des vaccinalistes.
En vérité, la majorité des sujets touchés par les épidémies présentent une séro-conversion post-vaccinale incluant, dans certains cas, une diminution progressive de l’immunité, ce qui traduit bien l’échec de la vaccination, et surtout le recul de l’âge moyen de la survenue de la maladie, avec des effets secondaires beaucoup plus graves dans les tranches de population plus âgées, et une mortalité multipliée par dix. D’autant que les vaccinalistes eux-mêmes reconnaissent que l’immunité vaccinale artificielle n’est pas aussi durable que l’immunité naturelle et que les taux d’anticorps observés après les vaccinations sont généralement inférieurs à ceux qui sont constatés après les maladies.
C’est ainsi qu’à présent des adultes contractent certaines maladies infantiles à un âge où les complications sont plus fréquentes et bien plus graves. Ce phénomène, que l’on avait déjà constaté aux États-Unis, se vérifie également en France.
Comme le soulignait en 1990 le magazine médical Jama dans son édition française (vol. 15 n° 210) « le vaccin donne la rougeole », mais certaines crèches, dont les responsables ne lisent évidemment pas Jama, même en français, l’exigent pour l’admission des bébés.
D’après le biologiste Bernard D. Jachertz, de Berne : « L’expérience historique montre que le virus de la rougeole repoussé ou même anéanti sur une population circonscrite expose ladite population au danger d’épidémie à caractère explosif. » C’est bien ce qui se produit depuis deux ans.
En outre, lorsqu’on brandit le spectre des encéphalites post-infectieuses pour terroriser les mères de familles, elles étaient très rares avant l’ère vaccinale, et on se garde bien d’évoquer le risque d’encéphalites post-vaccinales et de perturbations du tracé électro-encéphalographique qui sont beaucoup plus fréquentes, mais ne sont pas répertoriées en France.
Quelles que soient les affirmations de certains communiqués orientés, la vaccination contre la rougeole demeure un sérieux facteur de risque de maladies de dégénérescence pratiquement incurables et la porte grande ouverte vers de nombreuses allergies, comme l’ont démontré de très nombreuses études.
En 1993, plus de 25 % des cas de rougeole se produisirent chez des bébés de moins d’un an. Le CDC attribua ces cas au fait que de nombreuses mères furent vaccinées entre 1960 et 1980. « L’immunité naturelle de ces mères ayant été annulée par la vaccination, elles n’ont pu la transmettre à leurs enfants. »
Enfin, et pour répondre une fois pour toutes au sujet d’études officielles comparant des enfants vaccinés avec des enfants non vaccinés, le 26 octobre 2010, la chaîne de télévision allemande Alpenparlament TV, diffusait une interview d’Angelika Kögel-Schauzt, mathématicienne, responsable de l’EFI (association d’information sur les vaccins) qui citait une étude concernant 18 000 enfants allemands de 0 à 17 ans. Cette étude a été menée durant trois ans par l’Institut Robert Koch, le plus haute instance de santé allemande. Spécialisé dans les maladies infectieuses, cet institut a analysé en détail la santé de ces 18 000 enfants représentant un échantillon de toute la population. Les médecins ont recueilli 1 500 données par enfant, soit au total 20 millions de données qui répondent à toutes sortes de questions sur leur santé, les types de vaccins qu’ils ont reçus, leurs analyses de sang et d’urine, afin de déterminer l’état de santé des enfants allemands, pour lesquels la vaccination n’est pas obligatoire.
Ils ont ainsi constaté des différences spectaculaires, très supérieures aux attentes, entre les vaccinés et les non vaccinés. Ainsi, les enfants non vaccinés ont moitié moins d’allergies neurologiques, moins de scoliose que les autres, moins de problèmes de langage et de vue - ils portent bien moins souvent des lunettes, comme l’avait déjà remarqué le Dr Gerhard Buchwald. Ce médecin allemand, mondialement connu pour ses travaux sur les vaccins, a déclaré au sujet du vaccin contre la rougeole que « non seulement il n’est pas efficace mais il est dangereux. Autrefois, les bébés n’avaient jamais la rougeole. Ils étaient protégés grâce à leurs mères, elles mêmes immunisées par la maladie, alors que celles qui ont à présent été vaccinées ne sont plus capables de transmettre leur immunité à leurs bébés. »
C’est ainsi que plus on vaccine, plus les enfants ont des maladies infectieuses, mais c’est un secret bien gardé. Peu importe ! l’industrie pharmaceutique a de plus en plus besoin de satisfaire ses actionnaires et la vaccination est une manne inépuisable, c’est pour cela qu’on invente sans cesse de nouveaux vaccins aussi dangereux qu’inutiles et avec des injections de plus en plus fréquentes.
VIDÉO: ICI
Sylvie Simon
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire